Theatre
Charlène
2nde 1 Commentaire composé
« Les contemplations » est un recueille ou sont écrits des poèmes de Victor Hugo. Hugo y raconte près de 26 ans de sa vie. Répartie entre « Autrefois » (1831-1843 : ses souvenirs passés) et « Aujourd’hui » (1843-1856 : ses angoisses). Son écriture est partagée entre l’immensité du vide, et l’infini qu’il tente d’encombrer par la contemplation. Hugo a un langage très personnel, exprimé très naturellement, comme ses convictions politiques. (Révolution littéraire.). Ses thèmes sont très liés à « l’émotion », au « rêve » et à la « nature ». Hugo est un auteur, très romantique. Avec ses textes, Victor Hugo cherche à donner une âme aux choses. Il cite d’ailleurs : « Quand l’œil du corps s’éteint, l’œil de l’Esprit s’allume. ». Dans « Quelques mots à un autre » (V55 au V93) on assiste au débat que tiens Victor Hugo à propos de la révolution littéraire. Dans ce passage, Hugo montre sa participation à cette révolution littéraire. Alors, dans cette perspective, nous verrons comment Victor Hugo fait, pour exprimer son ressenti, par rapport à cette littérature rhétorique. Projet de lecture : Comment Victor Hugo exprime t-il son avis sur la littérature du XVIIIX° ? Dans cet extrait (v.55-v.93) Victor Hugo, s’exprime de façon très particulière. Nous pourrons remarquer qu’il utilise un vocabulaire qui lui est propre. Ce qui fait ressentir alors, cette envie d’Hugo, de révolutionner la littérature française. Il y a le champ lexical de la révolution, si l’on peut dire. Tout d’abord, quand l’auteur écrit : « Lancer au pas de charge, en batailles rangées. » (v.61) On s’aperçoit déjà de l’idée principale qu’Hugo veut nous faire passer. Et surtout, en utilisant le « nous », Hugo nous invite à le rejoindre, c’est comme une invitation pour nous. Nous donnons l’exemple du vers 74. « Pirates, nous avons, à la voile, à la rame / De la triple unité pris l’aride