Top 10 de nos bonbons préférés
Par Un topiteur | 28 juil 2010 | (Siège d’un géant de la confiserie, 10 octobre 1986, 9:10 AM). « Messieurs, je crois que nous avons mis au point le bonbec de demain. Vous pouvez voir le détail du concept sur ce paperboard. »- « C’est incroyable! ».- « Et c’est un bonbec? ». - »C’est la confiserie de l’an 2000! »(…). Florilège des petits pas pour l’homme, mais des grands pas pour la confiserie.
Le Malabar bi-goût : Un Malabar mi-rose, mi-jaune, mi-fraise, mi-citron… Une esthétique parfaite, un nom inoubliable… quand on a un bi-goût en main, le tatoo livré avec n’a plus aucune importance. Un coup de génie.
Le Carambar : Une référence historique, une partie de notre patrimoine à tous. Associer le meilleur moyen de se niquer les dents avec l’humour le plus raffiné de l’époque, c’était brillant. Le concept n’a pas survécu au renouvellement des blagues.
Le distributeur de Pez : Pas besoin d’avoir un bonbon élaboré pour révolutionner le marché. Il suffit parfois de mettre au point un distributeur original grâce aux technologies les plus pointues. Plus personne ne se souvient du goût de ces trucs, mais on sait tous sortir en un claquement de doigt une dragée de notre distributeur. C’est dans nos gènes.
Le Mister Freeze : Un sachet tubulaire de flotte glacée et colorée selon le nom d’un goût quelconque (cerise, coca) ou d’un composant chimique de derrière les fagots (le fameux goût « Schtroumph »). Soyons clairs : le Mister Freeze ne compte pas parmis les 5 fruits et légumes conseillés par jour.
Le Frizzy Pazzy : De la poudre dans un sachet qui éclate sur votre langue pour se transformer en chewing-gum… A l’époque, une légende dans les cours de récré voulait que si on l’avalait trop vite, le Frizzy Pazzy pouvait nous bousiller la moitié des organes. Notre fascination pour le danger a assuré son succès. L’effet Fugu, sans aucun doute.
La Langue de Chat : Il suffisait