tpe Black panther party

420 mots 2 pages
Le BPP est apprécie dans les ghettos, notamment grâce à son programme «Servir le peuple », dont le plus important est celui des petits déjeuners pour les enfants. En 1970, 25% des Afro-Américains disent avoir « un grand respect » pour le BPP, tandis que 64% avouent que le Parti « leur donne un peu de fierté ». Début 1969, John E. Hoover et son bras droit, William Sullivan, semblent avoir opté pour la destruction de tous ces programmes sociaux, trop dangereux à leurs yeux, le BPP constitue la plus grave menace pour la sécurité intérieure des Etats-Unis ont ils dit : John E. Hoover et le FBI.
Le Free Breakfast Program n’est qu’un moyen pour faire passer le « poison » du BPP. Dans un premier temps, les agents du FBI tentent de convaincre les commerçants des ghettos de ne pas donner de nourriture. Capitaine des Panthères à Oakland, Robert Bay s’occupe de la collecte. Il est arrêté à cinq reprise pour braquages et mis en prison un mois avant que les charges qui pèsent contre lui soient abandonnes. L’objectif de FBI est atteint : pendant qu’il est emprisonne, Bay ne peut pas s’occuper de la collecte de nourriture.
La police et le FBI usent également de méthodes plus expéditives : à Chicago ; Philadelphie, Cleveland, Baltimore ou Los Angeles, les policiers armes débarquent a l’heure du petit-déjeuner, « terrifient tout le monde, détruisent la nourriture, (…) prétextant qu’ils sont a la recherche d’objets de contrebande ou de fugitifs. Ils en profitent toujour pour détruire le matériel. Il s’agit de faire passer l’idée que les petits déjeuners servent à endoctriner les enfants avec un discours raciste. Les agents en poste dans la baie de San Francisco se procurent un de coloriage qui confirme ces allégations : les policiers y sont figures en cochons et les enfants les poignardent ou leur tirent dessus. Le FBI a la preuves que le BPP entraine les enfants a haïr la police. La réalité n’est pas aussi simple : ce cahier est publie en un pilote de 25 pages, mais Bobby

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