tpe Black panther party
Le Free Breakfast Program n’est qu’un moyen pour faire passer le « poison » du BPP. Dans un premier temps, les agents du FBI tentent de convaincre les commerçants des ghettos de ne pas donner de nourriture. Capitaine des Panthères à Oakland, Robert Bay s’occupe de la collecte. Il est arrêté à cinq reprise pour braquages et mis en prison un mois avant que les charges qui pèsent contre lui soient abandonnes. L’objectif de FBI est atteint : pendant qu’il est emprisonne, Bay ne peut pas s’occuper de la collecte de nourriture.
La police et le FBI usent également de méthodes plus expéditives : à Chicago ; Philadelphie, Cleveland, Baltimore ou Los Angeles, les policiers armes débarquent a l’heure du petit-déjeuner, « terrifient tout le monde, détruisent la nourriture, (…) prétextant qu’ils sont a la recherche d’objets de contrebande ou de fugitifs. Ils en profitent toujour pour détruire le matériel. Il s’agit de faire passer l’idée que les petits déjeuners servent à endoctriner les enfants avec un discours raciste. Les agents en poste dans la baie de San Francisco se procurent un de coloriage qui confirme ces allégations : les policiers y sont figures en cochons et les enfants les poignardent ou leur tirent dessus. Le FBI a la preuves que le BPP entraine les enfants a haïr la police. La réalité n’est pas aussi simple : ce cahier est publie en un pilote de 25 pages, mais Bobby