tpe médecine
La médécine conventionnelle occidentale, aussi appelée allopathie, s'est imposée au XIXème sicèle comme le modèle unique de médecine, grâce à ses progrès condisédrables : anésthésie, asespsie, vaccinations, antibiotiques... Elle se base sur l'administration de médicaments contenant des substances actives et destinées à contrer les troubles du fonctionnement de l'organisme.
Cette médecine a connu beaucoup de succès et est répandue internationalement. Ses succès les plus importants sont sans doute la réduction de la mortalité infantile et l'allongement de la durée de vie. Grâce à de meilleures connaissances du corps humain et des pathogènes intraitables auparavant.
HISTOIRE ET CONTEXTE DE LA MEDECINE CONVENTIONNELLE
C’est dans l’antiquité grecque que le « concept » de médecine conventionnelle est né. Les érudits grecs séparent la médecine occidentale des pratiques ésotériques (= relatives à la magie). Au 5ème siècle, le serment d’Hippocrate apporte une dimension éthique et morale à la médecine scientifique : c’est le principe de la déontologie. Aujourd’hui, ce serment est encore prononcé dans les universités françaises de médecine. Il a bien sûr été réécrit depuis, mais il reste inspiré de l’original.
Hippocrate (460 - 370 av. J.-C.), qui vécut à l’apogée du siècle de Périclès et de la démocratie athénienne, est considéré comme le Père de la Médecine. Il fit de celle-ci une discipline à part entière, dégagée des croyances magiques. Il réalisa la synthèse des connaissances médicales de son temps et posa les fondements de la thérapeutique moderne. « Le serment d’Hippocrate » qui impose au médecin le respect du malade, reflète l'exigence de sa conscience.
Avec ses grandes découvertes, la médecine conventionnelle fait sa révolution au 19ème siècle. En 1676, Antoni van Leeuwenhoek découvre que les microbes et les bactéries sont visibles au microscope. Louis Pasteur est rendu célèbre grâce à son vaccin contre la rage