Travail De Francais
Technique Policière
Groupe 06632
Le mal de la guerre et le deuil dans «Le mal»
Et
La fraicheur de la soirée en harmonie dans « Sensation »
Deux textes tirés des Œuvres poétiques choisies
D’Arthur Rimbaud
Lecture commentée de deux poèmes présentée à
Mme Danielle Tremblay
Département de Français
Pour le cours
Écriture et littérature
Cégep de Sherbrooke
19 septembre 2014
J’ai choisi ce premier extrait de « Le mal » pour toute la peine qu’il a dû avoir avec la guerre qu’il y avait dans son temps et le nombre incroyable de morts qu’il a eu et il l’interprète très bien dans ses mots : « Tandis qu’une folie épouvantable, broie, Et fait de cent milliers d’hommes un tas fumant.»1 Ceci laisse sous-entendre qu’il y a beaucoup d’hommes morts sur le sol et que leur corps fume encore de chaleur qui en sort.
J’ai, ensuite, choisi l’extrait suivant du poème « Sensation » : « Rêveur, j’en sentirai la fraîcheur à mes pieds. Je laisserai le vent baigner ma tête nue. »2 C’est une belle gradation montante des pieds à la tête. On pourrait dire qu’il dort à l’extérieur et qu’il veut rêver puisqu’il a un sentiment très fort lorsqu’il est à l’extérieur dans une belle soirée de fraicheur. Et il implique ses sens du toucher.
J’ai choisi cet autre extrait du texte « Le mal » : « […] Des mères, ramassées Dans L’angoisse […]»3 Les mères sont en deuil puisqu’elles portent un bonne noir et elles demandent la protection de dieu en donnant un gros sou.
Enfin, j’ai trouvé, dans « Sensation » Il réussit e réunir l’air et l’eau « Je laisse le vent baigner ma tête nue. »4 et il réussit à joindre le jour et la nuit dans « Les soirs bleu d’été »
Ce qui donne une très bonne harmonie dans le poème et une très belle finition.
Bibliographie
Rimbaud, Arthur, Œuvres poétiques choisies, Mont-Royal, Éditions Modulo-Griffon, 2004, 200 p.