Tristan et Iseut - Tristan et Iseut
551 mots
3 pages
L’amour que Tristan et Iseut éprouvaient entre eux est inséparable de la passion. Effectivement, le sentiment de passion que tous les deux éprouvaient est si puissant qu’il ne pouvait se contrôler. Dans le récit, alors que Tristan et Iseut sont éloignés d’entre eux, Iseut devait feindre sa joie et son rire. De plus, elle domptait l’agitation des parties du corps du Roi Marc et les sursauts qui étaient dus à sa fièvre. Elle voulait à tout prix s’enfuir vers Tristan. On cite aussi : « L’amour les presse, comme la soif précipite vers la rivière le cerf sur ses fins » (page 1 ligne 2-3) on retrouve après les deux-points une comparaison, qui exprime les sentiments ressentis entre les deux personnages. Cette figure de style démontre à quel point Tristan et Iseut ne pouvaient se délaisser, l’amour de passion qu’ils dégageaient entre eux était trop fort pour être contrôlé d’eux-mêmes, cet amour était obligatoire, tel qu'un cerf qui ne se précipite pas de son plein gré vers la rivière lorsqu'il est mourant.
…afficher plus de contenu…
En effet, on peut le réaliser lorsque bien que Tristan fût banni de la cour, pour lui, ne pas voir Iseut était indispensable. Donc Tristan trouva une solution qui consistait à mettre des morceaux d’écorce dans l’eau d’une fontaine qui traversaient la chambre des femmes avec des signes que seuls Iseult et Tristan connaissent la signification. Lorsqu’Iseut aperçût cela, elle descendit vers le verger pour retrouver son bien aimé, « Mais dès que Tristan l’a vue, les bras ouverts, il s’élance vers elle. Alors, la nuit les protège et l’ombre amie du grand