CRITIQUE POSITIVE DU LIVRE :

Cet avec ce thriller français de Karine LEGRAND que nous partons pour une grande aventure !

Bien que ce ne soit que son premier, il a néanmoins connu un véritable tabac en Belgique et en France. Certaines rumeurs parlent même d’adaptations en allemand, néerlandais et espagnol.

L’histoire se déroule en 2011, durant la période des vacances d’été. Caroline Lane travaille depuis 6 ans au New-York Times. Elle a récemment obtenu le poste de rédactrice en chef. Il n’est pas rare de voir arriver des lettres relatant des crimes qui seraient commis si ces lettres n’étaient pas publiées. Un moyen comme un autre de semer le trouble, aussi bien chez le peuple qu’au commissariat. Néanmoins, cela fait quelques mois qu’elle reçoit des « lettres énigmes anonymes » comme elle se plait à les appeler, amatrice de casse-têtes et énigmes oblige. Ses collègues ne sont au courant de rien et ne peuvent l’être. Seule Caroline en connait l’existence. Ces lettres lui sont envoyés à son domicile, bien qu’ayant le titre du journal inscrit, ce qui lui suggère que l’auteur les dépose lui-même. Ces lettres ne sont qu’une suite de chiffres incohérents, signées par cette même phrase : « Son sort repose entre vos mains ». Chaque lettre comporte toutefois deux lettres, environ au centre de la page. Mais à quoi correspondent-elles ?

Malgré son jeune âge, 17 ans, elle a réussi à surprendre le lecteur avec ses touches de suspense par-ci par-là. C’est avec une délicatesse infime qu’elle nous emmène au fond de l’horreur criminelle. Chaque détail est important. Elle va même jusqu’à décrire l’odeur que l’on rencontre sur une scène de crime.

Certains passages sont si bien écrits qu’elle arrive à nous transmettre l’anxiété des personnages. Elle nous plonge dans une atmosphère stressante et accablante. Elle nous plonge au cœur de l’action, nous secoue d’émotions et nous laisse, la dernière page du livre tournée, secoués comme elle l’explique ici : « Même si la mort