Un après-midi de septembre alexandre dumas
Celle-ci l’interpelle sur le fait que lui aussi avance à grand pas dans l’âge : « Ce cahier, que je ne peux ouvrir sans émotion, a une odeur. Celle qui m’assaillait quand je pénétrais chez elle. Une odeur de vieux. Je suis bien conscient de mon propre vieillissement. Le temps bondit sur moi, et bientôt, je serai comme elle. » (l. 14-16). Avec l’emploi de la répétition du mot « odeur», l’auteur met en exergue l’élément qui suscite ses angoisses implicites. Tout à coup, sa vie professionnelle ne lui semble plus une priorité à côté de la mort qui le guette, mais il s’accroche quand même aux traces qui définissent sa …afficher plus de contenu…
Mon fils me toucha le bras. J’eus une envie soudaine d’être consolé. » (l. 43-44). Dans ce passage l’auteur met un point d’arrêt à la fin de chaque phrase courte, en guise d’une marque de respect envers sa défunte mère et d’empathie envers lui-même. L’écrivain finit par admettre que sa vie ne vaut pas mieux que celle de sa mère et le décès de cette dernière fait émerger en lui sa fragilité de jeunesse, par conséquent,il se rend compte de sa propre