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De l’utopie à la dystopie

Approche de l’œuvre lue : Péplum d’Amélie Nothomb
1. Présente l’auteur du récit ainsi que le contexte historique qui était le sien en 10 lignes.
Veille à ce que les informations retenues soient en lien avec les propos qui suivront.
Amélie Nothomb est une romancière belge, elle est issue d’une famille bruxelloise. Elle est née au Japon en 1967 et elle a beaucoup voyagé lors des déplacements professionnels de son père qui est un ambassadeur belge. Elle est fortement marquée par la culture nippone. Ce n’est qu’à l’âge de 17 ans qu’elle revient en Belgique, elle décide d’entamer des études gréco-latines et son intégration dans notre société lui est assez difficile. En effet, elle est incomprise et rejetée, de plus il y avait une telle différence entre la société qu’elle avait connue au japon et la nôtre que ce fut un énorme choc pour elle. A partir de ce moment-là, elle commence à écrire mais elle garde en elle son opinion critique de notre société occidentale. Ensuite elle repartit au japon et revint en Belgique par la suite. Ce n’est qu’en 1996 qu’elle a publié son roman, Péplum.

2. Présente clairement 5 valeurs ou critères essentiels à partir desquels la société décrite dans le récit est organisée. Illustre-les à partir de citations pertinentes. * L’énergie : Dans cette société du futur, la seule politique est l’énergie car elle est très importante et très présente. Beaucoup de choses, dans cette société dépendent de l’énergie (les vêtements, les bâtiments, …) Les énergies du 26ème siècle sont différentes de celles du 20ème siècle, ils utilisent un suppresseur, le nucléaire a disparu ainsi que les autres sources d’énergies.
Page 21 : * Dans les grandes lignes ! * Il n’y a qu’une ligne : l’énergie. Il n’y a qu’une seule politique : l’énergie.
Page 43 : * Mais