Ville ou banlieue
Tout d’abord, l’accessibilité des activités lorsqu’on demeure en ville est un facteur important tout autant pour les familles bien nanties que les familles dans le besoin. Bon nombre de parents dont le revenu est insuffisant auraient bien des problèmes à résoudre si les camps de vacance gratuite n’étaient pas disponibles durant l’été. Il n’y a pas que les camps de vacances qui peuvent occuper les enfants durant leurs journées de congé. Le Jardin botanique, le Biodôme et les musées sont des activités clés pour les parents durant les jours de congé ou la semaine de relâche de leurs enfants. Par conséquent, je crois donc que la ville à un avantage par rapport à la banlieue quand il s’agit de l’accessibilité des activités reliées a la famille.
En second lieu, la proximité des services tels que les transports en commun et les hôpitaux joue un rôle clé quand il s’agit d’élever une famille à la ville. Les enfants de la ville ont la chance de se passer de voitures. En effet, le transport en commun n’est pas seulement plus simple et accessible en ville mais il est aussi bénéfique pour l’environnement. La proximité des services ne s’arrête pas au transport en commun, au contraire, une ville comme Montréal est dotée d’une palette d’hôpitaux spécialisés en santé juvénile. L’hôpital Sainte-Justine, l’hôpital de Montréal pour enfants et l’hôpital des Shriners ont amplement les ressources nécessaires pour traiter un enfant, peu importe le problème. Ainsi, je persiste à croire que la ville à une longueur d’avance sur la banlieue quand il s’agit de proximité de services.
Certains habitants de la banlieue font