Vision d’un sociologue (Karim Hammou) :
Prélude :
A son arrivé en France, le mouvement Hip-hop est vue comme un phénomène éphémère. Mais dans les années 90’, le mouvement n’a fait que prendre de plus en plus de place dans les industries musicales et est devenu un phénomène durable, les médias ne peuvent donc plus fermer les yeux face à l’ampleur que prend le Hip-Hop en France et (je cite) « évoquent de façon significative l’existence du rap en France ».
Rap et banlieue : le thème imposé. (p.70) :
Le Hip hop est l’une des cultures qui a réussit a émergé même en étant une culture populaire.
Le Hip-hop est montré du doigt en 1987 quand le tag devient un problème social et public associé à la dégradation et l’illégalité, à cause des tagueurs qui dessine sur les métros, ceci engendre une grève des salariés de la RATP en « février 1989 » qui demande une hausse de leur salaire et une embauche définitive pour les employés en situation de travail précaire, auparavant, « en mai 1988, la question de la propreté dévie sur celle de la délinquance dans les métros ». Les émissions telle que « envoyé spécial » diffusé sur Antenne 2 (France 2) et « les 90 rugissant » sur tf1 associe le rap au tag, se qui finit par donné au rap une image négative, et devient « un symptôme de problème publics »
Au milieu de l’année 1990, le rap est de plus en plus médiatisé, les plus grandes têtes du rap de cette époque signent en maison de disque et pendant cette période, certains événements qui ne sont pas en faveur de la discipline « alimentent la définition » de celle-ci. Je cite « il s’agit notamment de la mise en question du « phénomène des bandes », lors de l’été 1990, puis d’émeutes urbaines et de trouble lors de manifestations de lycéens. ».Durant ce même été deux meurtres sont commis lors d’affrontements entre bandes, qui « mettent ces derniers au cœur de l’attention collective », s’en suive d’autre affrontement dut à la mort d’un jeune, Thomas Claudio, renversé par une voiture