BOUIILON DE CULTURE

Sarah Kottis, petit bout de femme aux long cheveux noirs, est bercée entre deux culture depuis son plus jeune âge. Son père, originaire de Grèce lui a appris la langue et à aimer ce pays.
Sarah voyage beaucoup à travers le monde et aime apprendre du mode de vie des personnes qu’elle rencontre.

Sarah, une jeune femme déterminée

Après un bac STT, elle s’oriente vers l’étude des lettres modernes mais elle change rapidement de cursus, et décide de se tourner vers la médiation culturelle.
Elle y trouve sa voie, satisfaite de l’enseignement donné. Mais bien que concret, l’enseignement ne lui parait pas suffisant. Elle décide alors de faire des stages pour compléter au maximum son cursus scolaire.
« Les stages sont durs à trouver mais une fois qu’on est embauché, il faut s’accrocher ! », dit-elle, sourire en coin. Le premier stage se déroule à l’ambassade de France, à Athènes. Elle conçoit les fichiers mailing de contact culturel public et privé. Mais non satisfaite de cette expérience, Sarah l’obstinée, persévère dans la recherche d’une autre structure pouvant l’accueillir.
Elle fait un stage dans l’agence parisienne Nin Nin Rose en tant qu’attachée de presse. Une part importante de son travail consiste à promouvoir les artistes au sein même du festival de musique, le « Furia Sound Festival ». Elle s’épanouit au sein de cette entreprise, heureuse du travail bien accompli.
Mais malgré son expérience personnelle, Sarah reste sceptique quand à l’importance des stages dans le cursus universitaire. Pour elle : « Un stage se doit d’être sur une très longue période pour que l’étudiant se rende compte au mieux de l’aspect professionnel d’un poste. Et bien souvent, il est difficile de concilier les cours à la fac et les stages ».

Sarah, une jeune femme qui ne tient pas en place

Le statut d’étudiant, Sarah en profite au maximum ! Elle aime occuper son temps libre pour faire des activités culturelles variées. Elle aime lire, aller