Voyage
A la Gloire du Grand Architecte de l’Univers
Vénérable Maître
La tempérance est l’une des quatre vertus cardinales dans la philosophie réaliste comme chez le philosophe Grec PLATON.
La tempérance est la juste attitude entre les extrêmes, elle est le juste équilibre entre la colère et le lâché prise, la juste mesure entre le trop et le trop peu.
Vous remarquerez que dans toutes ces définitions, revient sans cesse le mot « justice ».
Apprenti, la première vertu que l’on nous enseigne est la justice, compagnon c’est la tempérance.
On ne peu être vraiment juste si l’on n’est pas tempérant. La tempérance rime avec justice, on peut dire que cette vertu conditionne indirectement toutes les autres vertus, mais toutes sont indispensables pour que l’homme soit tempérant. Le terme de tempérance semble se rapporter à ce qui est hors de l’homme. Cette référence à des éléments extérieurs à l’homme, tien son fondement dans l’homme.
La vertu de tempérance permet à l’homme de faire triompher son « moi supérieur » sur son « moi inférieur ».
L’homme tempérant est celui qui règle, qui modère ses appétits, ses réactions suivant la droite raison, la modération (ce mot est important).
Nous savons tous que bien souvent les excès consistent à un dérèglement d’actions qui en soit ne seraient pas mauvaises si elles étaient bien coordonnées. Si manger est bon pour la santé, manger trop ou trop peu a des effets néfastes sur le corps, la santé et le comportement de l’homme.
D’ailleurs, n’est-ce pas le corps et la santé qui subissent des dégâts quand l’homme ne pratique pas la vertu de tempérance de sobriété ?
C’est pourquoi ne dit-on pas souvent : « modérer ses appétits », appétits qui s’appliquent dans le domaine alimentaire mais aussi à plus d’un titre.
La tempérance dans les climats
Dans un climat rude et froid ou aride l’être humain ainsi que la faune et la flore vont s’employer à survivre plutôt que de s’employer à la recherche