Wazaaaaaaaaaa
Mesdames Messieurs,
J'ai longuement réfléchie à la question que vous nous avez posé dans votre magazine, j'ai trouvé plusieurs arguments pour tenter d'y répondre, tout d'abord si je me réfère à l'histoire de Nantas d'Émile Zola, je pourrais répondre que l'ascension au sommet dans la cadre de sa vie professionnelle ne le mène qu'à une tentative de suicide.
Nantas part de rien et finit avec tout, Nantas n'est qu'une petit homme et finit ministre des finances, Nantas a toute la volonté du monde mais tombe amoureux, c'est alors que sa maitrise est impuissante. En effet dans sa vie tout les défis professionnels seront réalisé sans échecs, il n'omettra qu'une donnée, l'amour, qui n'est véhiculé par aucune science précise, que nul ne peu acheter, que même la volonté ne peu combattre, car l'amour ne possède pas de tactique, ou de ministre des finances, l'amour est un sentiment qui se partage mais qui en aucun cas se possède.
De ce fait, toutes ses victoires soigneusement collectionner au fil des années n'amorce aucun sentiment de bonheur car l'unique élément fondamental est coincé dans la mécanique du cœur.
Si je me base sur mon opinion personnel, il est évident qu'une réussite professionnelle soit un ingrédient au bonheur et participe à faire de son quotidien une source de plaisir, mais la recette du bonheur nécessite une multitude d'ingrédients.
La réussite professionnelle correspond à la pâte du gâteau et l'amour équivaux au sucre qu'on ajoute ensuite pour y donné un goût de douceur, qui pourrait s'appeler le bonheur. Sans pâte il n'y a pas de gâteau donc pas de sucre et sans sucre le gâteau n'est pas bon. Je pourrais donc en conclure que pour une recette du bonheur il faut réussir professionnellement sinon la vie n'est pas confortable et il n'y a pas de bonheur, par conséquent la vie n'a pas bon goût.
Mais je pourrais aussi épiloguer que pour une recette du bonheur il faut