A.dumas, pauline
Vu que Horace et moi-même étions de jeunes aristocrates et nées d'une famille aisée, la population noble et que les roturiers serais de corvées.
Horace était tombé sur mon charme, sous mon regard, moi je me sentais pas très à l'aise. Il me laissait perplexe, il avait un air mystérieux, une nature ambivalente qui m'impressionnais et me mettais mal à l'aise également. Nous allions pourtant nous marier mais je ressentais un mal être en moi, ces airs énigmatiques me troublais, je ne savais pas quoi en penser et en faire. Ce mariage ne me plaisais pas temps que ça, je n'étais pas en forme à cette période, ma maladie semblait s'aggraver, j'étais fort réticente au niveau de mes aventures amoureuses, j'aimais mon indépendance, je restais fort fragile et pudique par rapport à mon mariage avec Horace de Beuzeval. Nous avions peu de dialogues entre nous, j'avais une vie conjugale malheureuse Je le présentais déjà, mais je savais que notre relation n'était que peine perdue, je vivais un amour impossible avec Horace.
Maintenant je ne pouvais pas retourner en arrière tout était en train de se peaufiner, la noblesse allait se déplacer de loin et le grand jour allais bientôt arriver, j'allais donc devenir Mme de