J'aime New York
I) Immensité de NY
L’auteur décrit la ville de NY comme une ville immense et s’appuie sur ses bâtiments et son organisation. Pour lui, NY est la ville de l’immensité et de la grandeur par excellence. Pour le montrer, il va utiliser différentes figures de style ainsi qu’un champ lexical adapté.
On constate tout d’abord qu’il utilise le champ lexical de l’immensité avec de nombreux adjectifs tels que « ensembles massifs », « grandes perspectives », « grands rails »
Il décrit NY à l’aide de comparaisons et de métaphores, par exemple « comme les grandes plaines andalouses ». En rapprochant NY des plaines andalouses connues pour être très vastes, il permet au lecteur de s’imaginer l’immensité de NY.
On remarque aussi que JPS parle de « l »horizon » et de « buildings perdus dans la brume », ce qui montre bien que NY s’étend sur tellement de kilomètres qu’il est impossible d’en déterminer les frontières.
II) L’auteur a appris à connaître NY
On devine que JPS n’a pas apprécié NY lorsqu’il l’a vue pour la première fois : on imagine qu’il a fait la comparaison avec Paris ( on le voit lorsqu’il parle des « villes d’Europe, où les toits sont bas ») qui à cette époque était une ville aux bâtiments modestes (assez petits). Il a donc du être choqué par la grandeur et la démesure caractéristiques de NY. Il a donc du apprendre à connaître cette ville, à s’y adapter lentement en la découvrant. De là, il change d’avis et progressivement, il va aimer NY.
On remarque l’adaptation progressive de JPS avec plusieurs expressions « j’ai appris à l’aimer », « je me suis habitué », « j’ai appris à aimer » : l’auteur, en découvrant la ville, a évolué pour mieux la connaître et l’apprécier.
Il a trouvé plusieurs moyens de découvrir NY sous un nouvel angle : en se plaçant en hauteur par exemple, comme le révèle le deuxième paragraphe « NY ne se révèle qu’à une certaine hauteur », ou en parcourant la ville en voiture « superbe et