L'abatros
Le poème L'Albatros s’appui sur une double comparaison. L'albatros est une personnifié étant donné que le poète est comparé à l'oiseau. Grâce à un ensemble de personnification,
L'albatros est évoqué dans toute sa grandeur il donne une impression de majesté, il est considéré comme un roi ainsi appelé « roi de l’azur, prince de nuées ». « L’azur et les nuées » suggèrent l'immensité des espaces sur lesquels dans les airs l'albatros règne, c’est son royaume. Cette notion de grands espaces est renforcée par la métaphore de vaste oiseau des mers il domine aussi sur l’océan.
Au-dessus de l'horizon semblable la société l’oiseau fait preuve fluidité, « voyageur ailée » il se déplace facilement d’un point a un autre de la terre, il n’a peur de rien « hante la tempête et se rit des archées » cette métaphore désignant les hommes affirme qu’ils ne lui font point peur, il est téméraire et ne crains rien.
Il y a le monde d'en haut et le monde d'en bas et la communication entre les deux est difficile, c’est parce qu’il c’est trop rapproché des hommes qu’il fut capturé.
Il ya une antithèse entre aisance et maladresse, Jadis roi admiré dans le ciel, il fait désormais objet de railleries et ne suscite plus que dérision il devient « comique, gauche, infirme »
Exilé parmi les hommes, l’albatros mais en même temps, le poète est agressé par les moqueries des marins qui est une réinterprétation de