L'acacia claude simon

256 mots 2 pages

CLAUDE SIMON
L’Acacia (1989)
« Le cadavre noir de l’Histoire »

I. Une atmosphère oppressante

A. L’immobilité des éléments liée à l’atmosphère d’où le manque d’oxygène

* « noir, opaque, impénétrable » + anaphore de aucun=paysage se fige * Impénétrable= suffoquement du à la vue bouchée +manque d’oxygène

B. Paysage hostile aux hommes

* L’homme va vers sa propre mort * Impénétrable= vue bouchée * Décor invariable =errance des hommes = aucune modification perceptible du décor * Hypothèse sur le décor l13 = ?+peut être * « seul la pluie continuait verticale drue » =rideau de pluie = -de visibilité * Même la pluie n’a pas beaucoup de force = « même pas obstinée ou acharnée » C. Les bruits sont amplifiés * « quelques cliquetis, quelques tintement de légers froissements d’élytres »= bruits imperceptibles amplifiés par le narrateur * « parfois »=bruits rares et éphémères

II. Une atmosphère morbide

A. Couleur dominante sombre

* bruits rares et éphémères=tombeau * L5+l15= enfer « ténèbres remplies d’encre » * Impénétrable= suffoque=tombeau * « Bêtes invisibles »=cheval fantôme * On entend les insectes = cadavres des hommes= insectes dévoreurs de cadavres +l20 »se montant les uns sur les autres, pressés sur quelques charognes puantes+ « dévorant les campagnes »=hyperboles * Les hommes sont proches de ceux qui sont morts

B. L’image d’une faucheuse

* Cadavres= champs de bataille sur lequel ils chevauchent l21= hécatombe+odeur nauséabonde « déjà puante »+l22 origine≠fin * Histoire= guerre= mort = faucheuse * Guerre =insecte→cadavre noir de l’Histoire→faucheuse→vieille ogresse=grand glouton * « Englouti tout+ y compris » * Apocalypse +image cru sur la dernière ligne= vocabulaire de la scatologie * La guerre résiste mais pas les

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Le bruitage Le but • Bruiter oralement une scène mimée. L’exercice • Chacun à leur tour, les participants font des mouvements très lents (boire, se coiffer, tendre la main pour attraper quelque chose, se baisser pour faire ses lacets, tourner la tête, lever ou baisser les bras, déplacer les jambes, le buste), et simultanément bruitent toute la gestuelle et les déplacements. Articulations rouillées, bruits d’eau, bruits de craquements, de sifflements, chants, effets de voix : du comique garanti ! • Imaginer collectivement les bruits que l’on entend dans un lieu de vie quotidienne : une cuisine, une salle de bain, une salle de classe, une rue, un magasin. Essayer de les reproduire (bruit de l’eau, du métal, du verre, du vent, d’un moteur, de pas).….

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--> l.20 l'adverbe de manière "brusquement" précède les verbes d'action dont la signification et la puissance va crescendo dans une cadence majeure "Cet homme brusquement entre dans l'eau, divise, épouvante les cygnes, et rapporte à la vie le pâle MOI évanoui." Jusqu'à "voulait tuer" ligne 23.--> l.22 "Il l'emporte", "lui fait boire" le grand-père agit directement sur le petit garçon, c'est lui qui lui fait faire l'action, d'avancer, de boire... Comment by Laurence Aubry: ? Vous n’examinez pas l’hypothèse que l’inconnu ne soit pas le grand-père…III - La présence constante des contraires dans le texte mime la confusion de la mémoire, et le duel entre celle de l'enfant du passé et celle de l'adulte du temps de l'écriture. 1) Dans la construction--> l.10 Le chiasme syntaxique adjectif/nom // nom adjectif "une grosse tête et des membres faibles"--> l.14 Le jeu dans la construction avec des adjectifs antonymiques "le grand péril de mon petit destin"--> l.22 "chez lui, lui fait" : le même pronom se suit deux fois, le premier renvoyant au grand-père et le second à l'enfant Comment by Laurence Aubry:….

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De plus, le narrateur laisse ses pensées vagabonder, tout en s'interrogeant sur un problème existentiel, attitude révélatrice du genre de l'essai. On peut cependant remarquer que la présence de La Bruyère reste discrète : seulement trois « je » (l.7-8) pour 20 lignes de texte.….

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Comparaisons corpus emile zola, « thérèse raquin », andré malraux, « la condition humaine », et albert camus, « l’etranger ».
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L’expression « brûlure que je ne pouvais….

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Il a fait publier les lettres en laissant croire qu'elles étaient vraies pour échapper à la censure et mieux convaincre. - La Bruyère : il peut s'agir simplement d'une maxime, dans ce cas c'est explicite, ou alors d'un portrait. La Bruyère dresse dans ce cas le portrait d'un caractère, c'est à dire d'un homme caricaturé pour représenter un défaut particulier et toutes ses conséquences. - Voltaire : l'ingénu, conte philosophique, tu as un héros idéalisé et caricaturé qui va vivre toutes sortes de mauvaises aventures au contact des autres hommes.….

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Pour sa part, La Bruyère dépeint tout d’abord les courtisans comme des gens toujours en mouvement, pressés, affairés, et qui brassent de l’air : «On les voit courir, parler en courant… ». Ensuite ce sont des gens sans réelles responsabilités, selon La Bruyère : « Leur profession est d’être vus et revus, et ils ne se couchent jamais sans s’être acquittés d’un emploi si sérieux, et si utile à la République ». Leur troisième trait de caractère est d’être curieux sur des sujets futiles et sans importance, « Ils sont au reste instruits à fond de toutes les nouvelles indifférentes ».Pour finir, La Bruyère les qualifient de médiocres et prétendent être ce qu’ils ne sont pas, « Ils portent vent ». 2) Jean de La Fontaine critique le roi et ses courtisans en utilisant la technique de la fable.….

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