L'art
Les bijoux, Baudelaire (page 300 de l’anthologie de Pompidou).
Demain dès l’aube, Victor Hugo
1er Septembre 1969 : suicide de Gabrielle Russiser tombée amoureuse de l’un de ses élèves :
Comprenne qui voudra, Paul Eluard (1945) : à propos des femmes tondues à la suite de la libération car elles ont eu des relations avec les officiers allemands.
Distinguer l’œuvre de ce qui distrait. Le beau n’est pas l’objet d’évaluation qui pourrait être antagoniste entre les individus.
Qu’est-ce qui distingue le beau du plaisant ?
En quoi le plaisant renvoie à la subjectivité alors que le beau au contraire récuse toute référence à la subjectivité.
A partir de quel critère, de quelle référence, de quel modèle pourra-t-on parler d’art ? Qu’est-ce qui spécifie et définie l’art en tant que tel ? Eloge du maquillage, Baudelaire : « la femme est naturelle c’est-à-dire abominable, aussi est-elle toujours vulgaire, c’est-à-dire le contraire du dandy ».
Qu’est-ce qu’une œuvre d’art ? Dissociation possible entre la technique et l’art ?
I. Le Beau.
Spinoza : le beau c’est ce qui provoque une certaine relation physiologique satisfaisante pour les hommes. Jusqu’à Kant la notion de beauté esthétique n’avait pas encore fait son apparition. Kant est le premier.
Il distingue le beau et le plaisant. Indiquer la nature de celui qui regarde et non celle de celui qui est regardé. Dépend du regard de celui qui regarde. Nous ne sommes pas dans la sphère du beau. Le beau excède ce qui agrée les sens. C’est pourquoi le mot « joli » existe. « Le laid peut être beau, le joli jamais », Baudelaire.
Le Beau selon Kant : « le beau est ce qui est représenté sans concept comme objet d’une satisfaction universelle ».
« Ce qui est représenté » : le beau n’est pas ce qui est Présenté. Autrement dit, le beau implique une création qui n’est pas une simple duplication du réel. Le joli c’est ce qui s’adresse aux sens dans leur immédiateté. Le beau renvoie à une dimension autre dans la