ANALYSE
La formulation du sujet s’articule autour de l’ambigüité du terme « inégalité ». En effet, une telle formation indique de façon explicite qu’il y’a les sexes. Or ce traitement relève de plusieurs ordres : juridiques, éthiques, sociales, affectifs. Autrement dit, il concerne la sphère sociale, politique et familiale. Par ailleurs, l’inverse de l’inégalité est l’égalité. Que réclame-t-on lorsqu’on dénonce l’inégalité entre les sexes. Une égalité de traitement ou d’indifférenciation, le refus du droit à la différence ? Votre discussion peut donc intervenir à différents niveaux, soit vous reconnaissez l’implicite du sujet, c'est-à-dire l’affirmation d’une différence de traitement dans différents domaines de la femme et les progrès effectués où non pour réduire cette différence, soit vous récusez l’implicite du sujet et remettez en question l’affirmation d’une inégalité entre les sexes. Ailleurs vous reconnaissez cette inégalité tout en mettant l’accent sur l’introduction actuelle plus ou moins possible et vous questionnez la notion de différences par rapport à l’inégalité, les femmes restent les femmes et les hommes restent les hommes. C’est sur cette dernière interprétation que va s’appuyer ma proposition de corriger.
INTRODUCTION
Les principes universelles des droits de l’homme dû a la révolution française de 1789 inclus la femme dans la mesure où l’homme est synonyme d’être humain. Les organisations internationales reprennent ces principes en précisant que les droits de la femme s’appliquent dans tous les pays quelque soit les différents structurels. En d’autres termes celle-ci ne peut être invoquer pour justifier quelques violations des droits humain au quelle la femme a accès au même titre que l’homme. En effet l’inégalité de traitements peut être constater dans toute les cultures ; c’est une réalité universelle. Cependant ; les progrès constaté depuis la fin de la 2nd guerre mondiale représente une empreinte irréversible. La