L'école des femmes - molière. doit-on condamné ou plaindre arnolphe ?
D'une part, Arnolphe est un personnage condamnable car il à délibérément décider d'élevée Agnès dans l'ignorance la plus totale, à l'écart de monde, pour prévenir le péril qui l'obsède, comme le prouve cette phrase « Épouser une sotte est pour n'être point sot. » (I, sc.1, vers 82)
L' « innocence » d'Agnès, son ignorance des faits sexuels : « La vérité passe encor mon récit. […] Si les enfants qu'on fait se faisaient par l'oreille. » (I, sc.1, vers 159-164) ; la naïveté avec laquelle elle reçoit les saluts galants d'Horace : « J'étais sur le balcon à travailler au frais, […] Qu'il me pût estimer moins civile que lui. » (II, sc.5, vers 485-502) ; ses réponses aux questions d'Arnolphe : « Passe pour le ruban. Mais je voulais apprendre […] Que pour le secourir j'aurais tout accordé. » (II, sc.5, vers 580-586) ; son étonnement qu'il puisse y avoir un péché lié à l'amour : « Mais enfin apprenez qu'accepter des cassettes, [...] Et qu'en se mariant le crime en soit ôté. » (II, sc.5, vers 595-610), touts ces faits sont certaines des raisons qui poussent les lecteurs/spectateurs à condamné l’éducation qu'Arnolphe à accordé a sa pupille.
Sa jalousie est également une des raisons qui rendent Monsieur de la Souche condamnable car il veut se venger (V, sc.4, vers 1610-1611). Sa vengeance étant étroitement lié à l'espoir de détacher Agnès d'Horace et de la reconquérir : « Peut-être que son âme, étant dépaysée,/ Pourra de cet amour être désabusée. » (V, sc.5, vers 1620-1621). D'autre part, Arnolphe est également un personnage que l'on peut plaindre car sa « jalousie