l'incendie mohammed dib chap 1
Réalisme du chapitre
La description des paysages :
- champs lexical de la noirceur : « obscurité », « profondeur », « ombre » qui s’ajoute à une description « miséreuse » du paysage : maison qui s’affaisse, creux des champs, maison décrite comme une « croûte blanche »
- on est face à un paysage boisé, de campagne et plateau, avec une « forêt de pin »
- auteur décrit Bni Bablen p.12 et appui sur le fait qu’elle est très isolée : «on connaissait des heures tranquilles, il n’y avait que quatre maisons , les jours avaient creusés des abimes de silence autour de chacune d’elles. Bni Bablen n’était pas un village, pas même un hameau » solitude
- ville perdue dans l’immensité du paysage : « immense terrasse », « plateau », « masse », « lourdeur terrible » contraste très présent ville/paysage, personnages perdus dans le paysage
- auteur choisi de nous présenter le paysage lors du soleil couchant : champs lexical incendiaire / feu : « flamboyer », « foyer sans flammes », « incendiait », « consume » , « l’air ardent » chaleur de l’instant, amour des personnages pour leur lieu de résidence
- auteur décrit le paysage à travers les yeux de ses personnages, comme si nous y etions volonté de nous faire participer à l’histoire
Une certaine représentation de la misère réalisme
- Maison en croute sèche et blanche ( médiocrité des habitations)
- labeur de la journée « Zhor peinait sur le chantier » , « dernières besognes »
- description de l’habitat misérable : « resserre suintante » en guise de pièce
- outils trés précaire, pénibilité des besognes : « gratter le sol de la maison avec une feuille de palmier nain »
- si l’enfant a faim on lui donne une « poignée de figues sèches »
- « cour en terre battue », « maison en pierres », « bouse »qui est récupérée pour faire du feu « rien ne se perd » = pauvreté
- « le labeur de la journée prenait fin »
Description de la vie quotidienne des paysans
- le retour des enfants à