L'évolution du sport lors de la Renaissance
Les doléances portent sur l’enseignement « secondaire » ; peu de revendications pour le « primaire ».
Tous les révolutionnaires veulent en finir avec la tutelle de l’Eglise.
Mais aucune unité de vue, beaucoup d’opposition, de contradiction et de violence.
Réalisation confrontées aux problèmes financiers et à l’Etat de guerre quasi permanant.
Le sujet de l’éducation nationale est crucial pour la Révolution.
Faire tourner les affaires du pays (instruire)
Former des citoyens, faire aimer la Patrie (éduquer)
Recherche d’un compromis entre instruction publique et éducation nationale – discours à la Convention le 21 décembre 1792 de Jean-Paul Rabaut Saint-Etienne (1743-1793, guillotiné le 5 décembre).
I. Le temps des plans d’éducation nationale (juillet 1789 – Juillet 1794)
Le plan d’éducation nationale présenté par Charles-Maurice de Talleyrand Périgord, dit Talleyrand (1754-18383), le 10 septembre 1791. Trois degré d’enseignement :
Le premier degré s’adresse à tous les citoyens. Ecoles de Canton, enseignement primaire.
Le second degré est destiné à ceux qui aspirent à des professions non manuelles. Ecoles de district, enseignement secondaire.
Le troisième degré concerne la formation des ministres de culte (les religieux), des juristes, des médecins et des officiers. Ecoles départementales, enseignement supérieur.
Enseignement primaire gratuit.
Education ni obligatoire, ni laïque.
L’éducation des filles se cantonne à un enseignement religieux et domestique et s’applique au sein de couvents laïcs.
Système scolaire à étages successifs et sélectifs sur le plan social, sexuellement discriminent.
Le plan d’éducation nationale présenté par Nicolas de Condorcet (1743-1794, retrouvé mort le 24 mars dans sa cellule au lendemain de son arrestation) le 20 avril 1792.
Quatre types d’établissements scolaires :
Ecoles primaires : formation civique et pratique
Ecoles secondaire : formation