Albert Cohen (1895-1981), est un poète, écrivain et dramaturge suisse romand. Qui avant detre suisse était Grec, il est née en Grece à Corfu et il est juif. Ses œuvres s'apparentent souvent au mouvement réaliste, les plus connus sont Ô vous, frères humains (1972) et Sonal (1930). Nous étudierons ici l'un de ces romans populaire, Ô vous, frères humains. Albert Cohen à décider d'éccrire cet ouvrage car il se croit mourant et décide de nous raconte son histoire, le souvenir de ses dix ans où pour la première fois il est confronté à l'antisémitisme, ou pour la première fois il va rencontrer la haine. Les passages du roman que nous allons étudier sont les sections 10 et 11 qui nous racontent les insultes antisémites à l’égard de ce petit garçon de 10 ans, qui lui ne comprend pas cette violente exclusion. Nous allons nous demander quels effets produit le contraste entre la violence du Camelot et la réaction de l'enfant ? Dans un premier temps, nous étudierons l'image très probante du dominant, et du dominé. Puis dans un second temps le contraste entre le comportement et le langage des deux protagonistes principaux de la scène.
Dans ces deux extraits, on peut voir que durant le discours violent du Camelot l'enfant ne dit rien, aisin l'image d'un dominant et d'un dominer est très flagrante.. Tandis que l'on ressent la haine du Camelot à travers son langage, ses insultes comme les mots « youpin, youtre, sale race ». Il vient même jusqu'à déshumaniser l'enfant dans la citation suivante « tu manges pas du cochon hein ? Vu que les cochons se mangent pas entre eux. » donc c'est une insulte tres forte qui montre que pour lui le juifs ne sont pas des humains, c'est une sous race. Les « hein » répétitifs du Camelot crée une ponctuation sonore, qui sert a avoir l'approbation, de la foule, du public pour légitimer ses propos. On à Nous même l'impression de vivre l'instant, et de voir cet enfant devant nous seul face à une foule rigolarde et à un Camelot qui à un sentiment