R Sum Critique 1
M. Weber , «Le métier et la vocation de savant», Le savant et le politique, pp.76-88;
M. Lowy, « Science et révolution: objectivité et point de vue de classe dans les sciences sociales», Dialectique et révolution, pp. 202-11, 214-15, 229-36
TRAVAIL PRÉSENTÉ À L'UNIVERSTIÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL
COMME EXIGENCE DU COURS POL 1300 À
DAVID MANDEL
PAR
FLORENCE GAGNÉ
GAGF25599500
DÉPARTEMENT DE SCIENCE POLITIQUE
LE 29 JANVIER 2015 La question de la neutralité en sciences sociales est au cœur de nombreux chercheurs et théoriciens de cette discipline et notemment en science politique. En effet, ceux-ci ont été amené à se demander si les recherches effectués dans ce cadre peuvent bel et bien faire abstraction de tous jugements de valeurs et ne s'en tenir quà de simple jugement de faits. Le résumé critique ci-dessous aura pour but de présenter les points de vue opposés de deux auteurs sur la question. Premièrement, nous explorerons l'argumentaire de Weber qui défends une théorie positiviste affirmant la possibilité d'être neutre en sciences sociales. Ensuite, viendra une la position de Lowy qui défend l'idée, dans son texte, qu'il est strictement impossible d'être totalement neutre et de ne pas faire valoir son propre point de vue lorsque vient le temps de se pencher sur une question dans le domaine des sciences sociales. Premièrement, Weber, dans son texte fait une grande dinstinction entre le fait d'exposer ses opinions politiques et l'action d'analyser scientifiquement les strucutres, mouvements ou problèmes politiques. Il affirme donc qu'il est possible de s'écarter de son point de vue et de ses jugements de valeurs afin d'analyser une situation de manière purement scientifique. Il dénotte une différence entre la vie politique et l'enseingement de cette matière dans la salle de classe. En effet, en utilisant l'exemple d'un débat sur la démocratie lors d'une réuniomn publique, il affirme que l'opinion des partis