Étudiante
Tout d’abord, Germain. Vingt-huit ans et veuf, est en amour avec la Petite Marie, alors que celle-ci ne l’est point. Les sentiments de ce dernier sont forts à un tel point qu’il n’y a absolument rien qui puisse parvenir à faire changer son idée. Germain a dit à Marie : « Si tu voulais m’accepter pour ton mari, il n’y aurait ni beau-père, ni parents, ni voisin, ni conseils qui puisse m’empêcher de me donner à toi. » Ces dires démontrent que peu importe ce que les gens pourront dire, rien ne réussira à lui faire douter de son amour, à l’empêcher d’aimer la petite Marie ou bien se mettre aux travers d’elle et lui. L’énumération faite par Germain crée de l’emphase et le choix des personnes qu’il a nommé vient appuyer la vérité dans ses dires. En parlant de son beau-père jusqu’au voisin, il affirme que même la personne ayant le plus d’influence sur lui et dans sa vie sera inapte à l’empêcher de quoi que ce soit si cela concerne l’amour qu’il éprouve envers Marie. De plus, en parlant des voisins, personnes ayant