AB Groupe

http://www.serieslive.com/article/211/dossier-sur-les-sitcoms-ab/ Bien qu'aujourd'hui les sitcoms AB apparaissent pour le moins kitch, elles ont véritablement marqué une génération de téléspectateurs. Certaines très connu ont fait succés entre 1991 et 1995 graçe à leur continuité. Tel que la sitcom française "Hélène et les garçons" qui raconte les aventures de l'étudiante Hélène. Elle fut suivie par deux séries représentant comme personnage principal Justine, la petite soeur d'Hélène. Elles poursuivront

LES GROUPES SANGUINS DEFINITION Ensemble d'antigènes génétiquement déterminés présents à la surface de la membrane des cellules sanguines regroupés en systèmes génétiquement codés et indépendants les uns des autres. DEFINITIONS ANTIGENES Substance capable de provoquer une réaction immunitaire, puis de réagir spécifiquement avec le produit de cette réaction (anticorps). DEFINITIONS ANTICORPS Protéines production (immunoglobulines) est dont provoquée la par l'administration d'un antigène

CITATIONS LATINE : Alea jacta est Tu quoque mi fili Dominus vobiscum Carpe diem Cf wikipedia : Ab ante « À l'avance ; précédemment. » Ab antiquo « Des temps anciens. » Ab amicis honesta petamus « À un ami, on ne doit demander que ce dont il est capable. » Ciceron, De Amicitia, 13, 44. Ab epistulis « Des lettres ; depuis la correspondance. » Ab esse ad posse valet, a posse ad esse non valet consequentia « De l'existence d'une chose on conclut à sa

propriétaire que par le droit des Quirites », or les plébéiens ne faisaient pas partie des Quirites. À l'origine de Rome l'ager romanus a été partagé entre les tribus, les curies et les gentes mais, les Plébéiens appartenaient à aucun de ses groupes par conséquent, ils n’avaient pas été pris en compte lors de la séparation. Ainsi ils n’étaient pas reconnus dans la société romaine, donc ne possédaient pas de droits. De plus, ils ne croyaient pas aux religions, ils allaient donc à l’encontre

l'application h ◦ g . (c) Trouver l'intervalle pour lequel l'application h ◦ g est bijective. (d) Montrer que (h ◦ g)−1 = g −1 ◦ h−1 Exercice 3. 1. Soit (G, .) un groupe non commutatif. Pour un α de G, on note l'application : fα : G −→ G x −→ fα (x) = αxα−1 On pose G = {fα α ∈ G}. (a) Montrer que G est un groupe pour la loi ◦ . (b) Montrer que l'application g : α −→ fα est un morphisme de G vers G . 2. On dénit deux lois + et × sur Z2 telles que : ∀(a1 ; b1 ), (a2 ; b2 ) ∈ Z2

CHAPITRE III Arithmétique dans Z 3.1 Introduction à la théorie des groupes a) Généralités Dénition 3.1 i) Une loi de composition interne T sur un ensemble E est une application de E × E dans E . Pour tout (x, y) ∈ E × E , l'élément T (x, y) est noté xT y . ii) Une partie F de E est dite stable pour la loi T si : ∀x, y ∈ F, xT y ∈ F . iii) Une relation binaire R sur E est dite compatible avec la loi T si : ∀x, y, x , y ∈ E, on a (xRy et x Ry ) ⇒ (xT x )R(yT y ). Exemples 3.1 1) L'opération

´ Cours de Mathematiques ´ Groupes, anneaux, corps, arithmetique Sommaire Groupes, anneaux, corps, arithm´tique e Sommaire I Lois de composition . . . . . . . . . . . . . . . . . . I.1 G´n´ralit´s . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e e e I.2 Partie stable pour une loi . . . . . . . . . . . . . . I.3 Homomorphismes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . I.4 Commutativit´ et associativit´ . . . . . . . . . . . e e I.5 Distributivit´ . . . . . . . . . . . . . . .

Commentaire de deux inscriptions triomphales (Tite-Live) Introduction Deux inscriptions dont le texte est rapporté par Tite-Live, historien de Rome, depuis sa fondation (ab Urbe condita). Présentation de l’auteur Présentation du contexte des deux inscriptions : Rome réprime une révolte des Sardes, conquis à l’occasion de la Première guerre punique (Sardaigne, province depuis 238, 231, 227 ? av. J.-C.) , le second texte illustre les opérations militaires contre Antiochos III le Grand, le

D´nombrements fondamentaux . . . e 12.1.4 Propri´t´s des coefficients binˆmiaux ee o 12.1.5 Num´rotation en base b . . . . . . . e 12.2 Les entiers relatifs . . . . . . . . . . . . . . 12.2.1 Congruences . . . . . . . . . . . . . 12.3 Structure de groupe . . . . . . . . . . . . . 12.4 Structure d’anneau . . . . . . . . . . . . . . 12.4.1 Arithm´tique dans Z . . . . . . . . . e 12.4.2 Nombres premiers . . . . . . . . . . 12.4.3 Applications de l’arithm´tique . . . e . . . . . . . .

D´nombrements fondamentaux . . . e 12.1.4 Propri´t´s des coefficients binˆmiaux ee o 12.1.5 Num´rotation en base b . . . . . . . e 12.2 Les entiers relatifs . . . . . . . . . . . . . . 12.2.1 Congruences . . . . . . . . . . . . . 12.3 Structure de groupe . . . . . . . . . . . . . 12.4 Structure d’anneau . . . . . . . . . . . . . . 12.4.1 Arithm´tique dans Z . . . . . . . . . e 12.4.2 Nombres premiers . . . . . . . . . . 12.4.3 Applications de l’arithm´tique . . . e . . . . . . . .