Accords de Matignon

Les accords de Matignon du 26 juin 1988 Le texte de la déclaration commune de Matignon est le suivant : Les communautés de Nouvelle-Calédonie ont trop souffert, dans leur dignité collective, dans l’intégrité des personnes et des biens, de plusieurs décennies d’incompréhension et de violence. Pour les uns, ce n’est que dans le cadre des institutions de la République française que l’évolution vers une Nouvelle-Calédonie harmonieuse pourra s’accomplir. Pour les autres,

LES ACCORDS DE MATIGNON Dimanche 7 juin 1036 : à 15 heures, à l'Hôtel Matignon, les représentants du capital et du travail se retrouvent face à face dans la grande salle où siège d’ordinaire le Conseil de Cabinet. A la tête de ceux-ci, et flanqué de Belin et Frachon, Léon Jouhaux, secrétaire général de la C.G.T depuis 27 ans. La discussion, longue, serrée, mais courtoise dans la forme, s'engage sous l'arbitrage de Léon Blum. Puisque la loi va régler le principe des 40 heures, des congés payés

Le 7 juin 1936, à l'hôtel Matignon sont signés, sous la Présidence du Conseil de Léon Blum (Front populaire), entre la Confédération générale de la production française (CGPF), la Confédération générale du travail (CGT) et l'État, les accords de Matignon. À la suite de ces accords, les ouvriers gagnent des acquis sociaux : sans faire grève dans chaque usine, les ouvriers obtiennent des avantages pour toute la profession ; les salaires sont augmentés de 7 à 15% (c'est l'inflation, les gens consomment

nommé président du conseil ( premier ministre) et il formera un nouveau gouvernement composé de radicaux et de socialistes. Les réformes du Front populaire Le 7 juin 1936, les accords Matignon sont signés dans la résidence du premier ministre. Ces accords Matignon sont pour les ouvriers qui auront dans ces accords le droit d'adhérer librement à un syndicat, le droit de faire la grève, le droit d'avoir des délégués du personnel et le salaire augmente. Cette loi impose aussi d'autres réformes qui

Le contexte historique de l’oeuvre Tout au long du 19ème siècle, l'industrie se développe. Des millions de paysans quittent leur village pour aller travailler en usine, dans des conditions très rudes. Le droit de grève ne sera officiellement accordé qu'en 1864. Il faut attendre 1900 pour que la journée de travail soit limitée à 10 heures par jour. En 1936, les syndicats et les parties de gauche s'unissent contre la montée de l'extrême droite et le chômage qui augmente. Des millions de salariés

ce gouvernement. Des grèves se dispersent à travers toute la France. Ils sont environ 2 millions de grévistes. Donc, les accords de Matignon sont signés le 7 juin 1936 et donnent naissance aux premiers congés payés. 2. Le développement des congés payés Au départ en 1936, les travailleurs avaient le droit à 15 jours de congés. Les congés passent de 2 semaines à 3 semaines

de février 1848 les ouvriers Parisiens avaient une revendication: " 8 heures de travail, 8 heures de repos et 8 heures d'instruction" car ils estimaient qu'ils travaillaient beaucoup trop. Les congés payés firent leur appartition grâce aux accords de Matignon en 1936. C'est un droit acquis par lestravailleurs français le 7 juin 1936. Cette innovation sociale majeure pour l'époque est aujourd'hui une évidence. Cette nouvelle loi concerne tous les travailleurs, au moment du Front Populaire cette

un puissant mouvement de grèves paralyse la France. Des négociations engagées entre syndicats et patronat sous les auspices du nouveau président du Conseil, Léon Blum, aboutissent, dans la nuit du 7 au 8 juin 1936, à la signature des accords de Matignon. Ces accords prévoient la généralisation des conventions collectives, l'augmentation des salaires et établissent le droit syndical dans l'entreprise Nous pouvons parler de révolution pour les travailleurs en 1936 car l'élection du Front Populaire

spectateurs furent estimees a 50000 personnes. Cet evenement devait cristalliser les espoirs d'un peuple aspirant a la reconnaissance de sa culture et a son autonomie. A trois ans du referendum d'autodetermination prevu dans le cadre des accords de Matignon, a un an de l'inauguration du Centre culturel qui doit porter le nom de celui qui a imagine puis realise le festival, Jean-Marie Tjibaou, le Festival appartient a l'actualite neo-caledonnienne. Pour en rendre compte vingt ans apres, le Journal

1936 : Cette année, sera celle de l'avènement du front populaire. Son arrivée au pouvoir déclenche un mouvement de grève spontané en mai et juin 36. Le gouvernement de Léon Blum favorise alors la signature d'un accord entre le patronat et les syndicats (le 7 mai 1936, les accords Matignon seront signés, parmi les mesures les plus importantes : Etablissement des conventions collectives, l'éléction de délégués-ouvriers et augmentations des salaires). Par la suite, l'assemblée votera la loi sur la semaine