Accords de Matignon

ministre, le 12 mai 1988, au début du second septennat de François Mitterrand. Les résultats des élections législatives entraînent la formation d’un second gouvernement Rocard le 26 juin 1988. - Ce même jour, Michel Rocard fait signer les Accords de Matignon entérinant les droits de la Nouvelle-Calédonie à l’autodétermination et mettant fin aux violences sur l’île. Cette action, souvent qualifiée de miraculeuse, pour la pacification de la Nouvelle-Calédonie est, selon lui, ce qu’il a fait de mieux

ligne 34 : « on ne leur avait pas seulement donné plus de facilités pour une vie de famille ; mais on leur avait ouvert une perspective d’avenir, on avait créé chez eux un espoir. […] ». Le 7 juin 1936, le nouveau gouvernement signe les accords de Matignon qui accordent le droit syndical dans les entreprises et les augmentations de salaires. Ces mesures sont complétées par la semaine de 40 heures, les salariés travaillaient alors jusqu’à 48 heures par semaine. Grande nouveauté et grande révolution

1793 La Terreur 1795 directoire (5 directeurs à l'exécutif) 1799 Consulat (régime politique autoritaire aux 3 consuls dont un, Napoléon Bonaparte, détient en réalité le pouvoir) 1801 Le Concordat: accords entre l'État et le Vatican 1804 Fin du Consulat Premier Empire fin de la Ière République 1815 Chute Premier Empire Louis XVIII au pouvoir puis fuite Retour de Napoléon, période des « cent jours »

revendications de la base donc des ouvriers sont souvent filtré par les syndicats. Les principaux syndicats et mouvements sont: La CGT (Confédération Général du travail), elle a des revendications traditionnelles qui sont dans la lignée de celles de Matignon en 1936. Il y a aussi la CFDT (Confédération Général Du Travail). En second plan, les partisans de la gauche ouvrière et les militants ouvriers maoïstes et trotskistes participent aussi au mouvement. Les syndicats sont dépassés par les évènements

2000. Le problème que pose le fonctionnement défectueux de nos institutions ne sera qu'en partie réglé par l'adoption du quinquennat. Mais, le mieux étant l'ennemi du bien, il était sage de franchir une première étape, pour laquelle existe un large accord politique. Je me réjouis que ce soit bientôt chose faite. Non parce que cela serait plus « moderne » : quel sens cela a-t-il ? Mais cette réforme, beaucoup plus importante qu'on ne le dit, est la conséquence nécessaire de l'évolution de nos institutions

premières vraies mesures anticrises ? Il s’agissait du premier gouvernement dirigé par la SFIO. Ses partisans ammenaient une approche nouvelle fondée sur la « politique du pouvoir d’achat », ce qui correspondait à une relance par la demande. Les accords Matignon négociés avec les syndicats et le patronat et signés le 7 juin 1936 relevaient pour l’essentiel de cette philosophie de la relance du pouvoir d’achat. Les salaires furent relevés dans une proportion allant de 7 à 15%, les décrets-lois Laval réduisant

premier ministre Jean-Marc Ayrault – ont acté du chemin parcouru par la Calédonie sur la voie de la maturité politique ces deux dernières décennies.    Un visage de raison sinon d’union affiché aussi lors du colloque à Paris sur les 25 ans des accords de Matignon-Oudinot et des quinze ans de l’Accord de Nouméa…  Un passé digéré, assumé et qui engage chacun pour un même avenir. Cette même hauteur que l’on a pu observer lors des disparitions de deux grandes figues de chacun des deux camps : l’ancien sénateur

élection en tant que député de Corrèze, il sera constamment réélu, ce qui lui vaut le rôle de secrétariat d'Etat aux affaires sociales (1967), puis le secrétariat d'Etat à l'Economie et aux Finances (1968-1971). Il jouera un rôle primordiale lors des accords de Grenelle pendant les événement de mai 1968. Et lors de l'élection de Georges Pompidou à la présidence en 1969, il est nommé ministre des Relations avec le Parlement (1971) ensuite ministre de l'Agriculture (1972). En 1974, étant ministre de l'Intérieur

élection ou à des opérations de référendum. Elle traduit soit un désintérêt total pour la vie publique, soit un choix politique actif consistant à ne pas se prononcer afin de montrer son désaccord. Ainsi, à l’occasion du référendum sur les accords de Matignon portant sur l’avenir de la Nouvelle-Calédonie en 1988, l’un des partis de l’opposition avait appelé ses partisans à s’abstenir pour s’opposer au texte. Néanmoins, l’abstention semble traduire une crise de la représentation et peut poser la question

des enfants (travail interdit – 18 ; réduit à 10h/j – 16 ; 11h pour 16 et 18 ; limité à 60h de travail hebdomadaire et condamnation des patrons qui ne respectent pas ça) 1906 : repos obligatoire hebdomadaire 1910 : Loi sur la retraite 1936 : accords MATIGNON (40h par semaine, congés payés) FRONT POPULAIRE : union du parti de gauche, dirigé par Léon Blum (SFIO, radicaux PC) Crise = montée des ligues d’extrême droite et donc seul solution : se lié au front pop. En Allemagne, système d’assurance