Agir tous pour la dignité Quart monde

familles aisées entretenaient un autre rapport à l’enfant mais les manifestations de tendresse étaient réfrénées par l’éducation. La spécialité de l’enfant n’est pas reconnue, on le pense comme un mini-adulte. L’auteur parle d’un bouleversement en un quart de siècle lié à la croissance économique d’après 1945 : abondance, protection sociale, amélioration du logement, recul de la mortalité. L’enfant n’est plus vu comme une charge donc la famille malthusienne recule. Comme il y a moins de mort infantile

Cinq éléments pour agir Précis de stratégie Éric de la MAISONNEUVE Précis de stratégie Cinq éléments pour agir Du même auteur : Stratégie, crise et chaos, Economica, 2005. Incitation à la réflexion stratégique, Economica, 1998. © Dunod, Paris, 2008 ISBN 978-2-10-053585-9 TABLE DES MATIÈRES Introduction 1 8 12 17 21 24 31 33 37 37 44 54 65 68 75 77 80 83 89 93 93 97 102 106 Boîte à outils de la stratégie Voies et moyens 1 La problématique : « agir ensemble » Équations

RSA •Le revenu median se situe a 943€ (un menage sur deux declare un revenu mensuel egal ou inferieur a cette valeur). Le contraste est fort avec Nantes et le grand quartier qui possèdent respectivement des revenus médians de 1686 € et 1398 €. •Un quart des menages declarent un revenu egal ou inferieur a 482 € Le quartier est en particulier un secteur tres populaire, avec de nombreuses familles a bas revenus et des populations precaires en lien avec le parc d’habitat social important. 4- Acteurs

loup fond violet, ciel + prairie + arbre => ombre de l'arbre = cou et tête d'un loup gueule ouverte. 1ère et dernière page => présence de la falaise Problématique : autour de la métaphore (agneau // élève, jeunesse + transposition du monde animalier avec les sociétés humaines) « L'agneau qui ne voulait pas être un mouton » est un album de jeunesse co écrit par Didier Jean et Zad. Il fut publié la première fois en 2003 (à vérifier) par la maison d'édition Syros. Cet album est actuellement

impératif national fondé sur le respect de l'égale dignité de tous les êtres humains et une priorité de l'ensemble des politiques publiques de la nation. ». Réaffirmée par le Code de l’Action Sociale et de la Famille, cette loi reprend une philosophie essentielle dans toute démocratie : l’égalité des hommes face aux droits. Déjà en 1948, la Déclaration universelle des droits de l’Homme proclamait que « Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits […]» et « Toute personne a droit

savoir comment adopté un comportement éthique en cas de conflit et que signifie adopter un tel comportement face aux salariés, ou face à la population environnante. L’éthique n’a jamais été autant en vogue qu’aujourd’hui. Elle est née dans le dernier quart du 20ème siècle et elle n’a fait que prospérer jusqu’en ce début du 21ème siècle. L’appel que la société a fait à l’éthique peut sembler sympathique cependant cette vague d’éthique est tout à la fois encourageante et inquiétante, encourageant car

lambeaux d'armée en déroute avaient traversé la ville. Ce n'était point de la troupe, mais des hordes débandées. Les hommes avaient la barbe longue et sale, des uniformes en guenilles, et ils avançaient d'une allure molle, sans drapeau, sans régiment. Tous semblaient accablés, éreintés, incapables d'une pensée ou d'une résolution, marchant seulement par habitude, et tombant de fatigue sitôt qu'ils s'arrêtaient. On voyait surtout des mobilisés, gens pacifiques, rentiers tranquilles, pliant sous le poids

lambeaux d'armée en déroute avaient traversé la ville. Ce n'était point de la troupe, mais des hordes débandées. Les hommes avaient la barbe longue et sale, des uniformes en guenilles, et ils avançaient d'une allure molle, sans drapeau, sans régiment. Tous semblaient accablés, éreintés, incapables d'une pensée ou d'une résolution, marchant seulement par habitude, et tombant de fatigue sitôt qu'ils s'arrêtaient. On voyait surtout des mobilisés, gens pacifiques, rentiers tranquilles, pliant sous le poids

lambeaux d'armée en déroute avaient traversé la ville. Ce n'était point de la troupe, mais des hordes débandées. Les hommes avaient la barbe longue et sale, des uniformes en guenilles, et ils avançaient d'une allure molle, sans drapeau, sans régiment. Tous semblaient accablés, éreintés, incapables d'une pensée ou d'une résolution, marchant seulement par habitude, et tombant de fatigue sitôt qu'ils s'arrêtaient. On voyait surtout des mobilisés, gens pacifiques, rentiers tranquilles, pliant sous le poids

cherchoient, ils le trouvèrent tout roide mort, et sa teste entre ses bras toute sanglante. Lors Eusthenes s'écria : «Ha ! male mort, nous as tu tollu le plus parfaict des hommes !» A laquelle voix se leva Pantagruel, au plus grand deuil qu'on vit jamais au monde. Et dist à Panurge : «Ha ! mon amy, l'auspice de vos deux verres et du fust de javeline estoit bien par trop fallace !» Mais Paiiurge dist : «Enfans, ne pleurez goutte, il est encores tout chault, je vous le gueriray aussi sain qu'il fut jamais». Ce