Alexander Schmorell

Le groupe de résistance La Rose Blanche fut fondé au printemps 1942, à l'université de Munich, par Hans Scholl et Alexander Schmorell. Les jeunes étudiants refusaient d'accepter le totalitarisme dans lequel avait sombré l'Allemagne, et voulaient sauvegarder leur indépendance d'esprit face au "nihilisme intellectuel" que représentait le nazisme. Ils parlèrent de la situation politique avec Kurt Huber, professeur à l'université de Munich, réputé pour ses cours de philosophie qui impressionnaient

Mondiale à l’Université de Munich. Ce groupe était composé d’étudiants ainsi que d’un professeur de philosophie ( Kurt Huber ) , les principaux acteurs de ce mouvement anti-nazisme sont : Sophie et Hans Scholl , Alexander Schmorell , Christoph Probst , Willi Graf . Hans Scholl et Alexander Schmorell en sont les fondateurs. Ces étudiants étaient contre le nazisme et le totalitarisme qui faisait sombré l’Allemagne , ils en ont longuement discuté avec leur professeur de philosophie (Kurt Huber) qui est

Activités Fondation La Rose blanche est fondée au printemps 1942 dans un atelier de peinture de Munich, par Hans Scholl et Alexander Schmorell. Les jeunes étudiants refusent le totalitarisme sous la coupe duquel se trouve alors l’Allemagne du Troisième Reich et veulent sauvegarder leur indépendance face à la menace nazie. La majorité des étudiants est catholique, Alexandre Schmorell est orthodoxe. Hans Scholl a en particulier été inspiré par des sermons de Mgr Von Galen, évêque de Münster, qui s'est

rejoint un groupe de militants catholiques. Hans choisit de partir à Munich en 1939 pour se lancer dans des études de médecine. Le groupe de résistance La Rose Blanche fut fondé au printemps 1942, à l’université de Munich, par Hans Scholl et Alexander Schmorell. Les jeunes étudiants refusaient d’accepter le totalitarisme dans le quel avait sombré l’Allemagne, et voulaient sauvegarder leur indépendance d’esprit face au « nihilisme intellectuel » que représentait le nazisme. Ils parlèrent de la situation

contre-courant de l'idéologie dominante. b) Les membres de la Rose Blanche On comptait cinq principaux membres dans la Rose Blanche, que l’on pourrait considérer comme les « membres fondateurs » : Hans et Sophie Scholl, Alexander Schmorell, Christoph Probst, Willi Graf. Ceux-ci sont tous étudiants en médecine. Hans était celui qui créa le groupe. Il était, selon certains historiens, la « tête politique » du groupe. Il perd le premier son insouciance : il esquive les réunions

où nous vient les antibiotiques? Il se trouve que c’est le fruit du hasard. Deux évènements combiner ont fait que les rechercher d’antibiotique se face. Le premier fut en 1928, un biologiste écossais Alexander Fleming travaillais dans un laboratoire voisin du docteur La Touche, mycologue. Alexander Fleming travaillais sur une bactérie appeler le staphylocoque doré. Il en fessait une cultivassions pour ces recherches. M. La Touche lui travaillais avec un champignon, le Penicillium notatum. M. Fleming

NEVEUR Marina 1S2 Lycée Raymond Poincaré Année scolaire 2011-2012 Thème : Bien-être et santé Sujet : Le premier antibiotique : la pénicilline Matières choisies : Histoire et chimie Encadré par Mme Nocart et Mme Soriano NOTE DE SYNTHESE Mon camarade et moi sommes dans la même classe depuis l'année dernière, de ce fait nous nous connaissons plutôt bien et nous nous entendons également très bien. En voyant le sujet intitulé « Bien-être et santé », nous avons cherché un sujet pouvant

Après des progrès remarquables et des résultats concluant, la pénicilline fut offerte aux civils, en 1945 après la guerre. « Ernest Chain […] a reçu le prix Nobel de physiologie et de médecine pour 1945, conjointement avec [Howard] Florey et [Alexander] Fleming, en raison de leur collaboration dans la découverte de la pénicilline.» Conséquences de cette découverte La découverte de la pénicilline est un événement très important du 20e siècle. En effet, il a permis de réaliser de nettes améliorations

socialiste tchécoslovaque durant laquelle le parti communiste tchécoslovaque introduit ce qu'il appelle le « Socialisme à visage humain » et prône une relative libéralisation. Il débute le 5 janvier 1968, avec l'arrivée au pouvoir du réformateur Alexander Dubček et s’achève le 21 août 1968 avec l’invasion du pays par les troupes du Pacte de Varsovie. On retrouve au cœur de cette contestation, des individus déçus par le modèle soviétique et qui sont désireux de voir s'appliquer à la Tchécoslovaquie

politiques et syndicales et la disparition de la police secrète. L’insurrection sera réprimée brutalement par les chars soviétiques. Les hongrois sont abandonnés à leur sort. Janvier–août 1968, Tchécoslovaquie : Printemps de Prague : lancement par Alexander Dubček, dirigeant de la Tchécoslovaquie d’un grand programme de réformes, sorte « d’ancêtre » de la perestroïka, liberté de la presse, liberté de circulation, réforme de l’économie. Mais le 21 aout, les troupes du Pacte de Varsovie, envoyées par