Ambiguïté

parties soit bien accentuée. La seconde condition pour un bon contraste c’est que Les parties soient reliées entre-elles par un joint ou un élément de transition. UNIFORMITE ET CONTRASTE Le contraste sert à donner une identité immédiate et sans ambiguité à deux système formels. UNIFORMITE CONTRASTE L’expression de la forme est accentuée par ces oppositions Forme Dimension Couleur/ Texture -La simplicité est démontrée par notre fascination des formes simples: cercle, sphère, cube etc..

excuse et qu’il condamne cependant ; les femmes de rencontre ou celles qu’il a aimées ? Les strophes 25, 26, 27 et 28, constituées d’un vers isolé chacune, décrivent impitoyablement 2 filles de rencontre. Vers 140 : autre fille, autre ville, autre ambiguïté : est-ce la ville américaine sur l’Hudson ou l’île anglo-normande ? Vers 141 : dureté du froid et de l’âge. Vers 142 : séquelles d’une opération au ventre ou d’un accouchement. Vers 143 : après la pitié, vient le sentiment d’humiliation et d’horreur

précède (mélange des registres) : « Ah ! mes gages ! »  répété au début et à la fin du discours. Avec le thème de l’argent, on revient dans le matériel, alors que S. vient d’assister à un événement spirituel, une intervention divine et la mort d’un homme. Ambiguïté du personnage avec l’expression « il n’y a que moi seul de malheureux » : ne parle-t-il que de l’argent ? Est-il seulement matérialiste et cupide ou regrette-t-il en fait son maître, même s’il ne peut le crier ouvertement (Dieu vient quand même d’intervenir 

qui ne lui est pas destiné puisqu’il n’appartient pas à sa classe sociale. (10-12) Le fait que le laitier appartienne à la même classe sociale qu’elle amène Solange à se l’approprier. 3- Une relation ambiguë Ø Ce discours social est-il sans ambiguïté ? Tentez de voir quand il paraît être remis en cause. - Nous avons vu que la révolte, c’est-à-dire la revendication de liberté, se faisait par l’intermédiaire d’une réappropriation du langage qui apparaît comme un signe de reconnaissance de classe

toujours d'une vastitude. On constate, au vers 2, qu’il la personnifie ; qu’à son «regard, infernal et divin» (ces deux mots étant rapprochés par le son «in») sont attribués deux qualités fondamentalement antithétiques, cette ambivalence et cette ambiguïté («confusément») étant confirmée au vers 3 par les conduites contraires qu’elle inspire («le bienfait et le crime»). Il apparaît quelque peu étonnant qu’ensuite il puisse, d’une façon quelque peu didactique, la «comparer au vin», la considérer donc

tentatives pr recouvrer son autorité restent vaines. L’injonction L206, est reprise et tournée en dérision L207 par un jeu sur le mot. Solange ne tient pas compte non pus de l’ordre de s’en aller L219, c’est juste après qu’elle passera à l’acte. III) 1) Ambiguïté de la scène Dans le rapport à madame Sensualité de l’énumération L183 pr caractériser madame. L190 Solange évoque son intimité rappelle qu’elle l’habille et laisse deviner un désir sexuel. La cérémonie serait alors un fantasme (construction imaginaire

sans la magie => s' affranchir des limites spatio-temporelles Caractère secret de la magie : → Grotte → Dorante doit quitter la grotte = ne pas être initié à ce secret II) Un discours ambigu 1) Une révélation à double sens → Ambiguïté sur les vêtements = signe de réussite social de Clindor pour son père. = Costumes pour le lecteur qui sait grâce à la didascalie. => discours d'Alcandre à double sens. 2) Un dévoilement progressif

fait défaut dans La jalousie c’est le sens d’un progrès narratif quelconque : rien ne se passe, puisqu’aucune situation narrative n’est déterminée par rapport aux autres. La jalousie est un anti-récit. Or le roman de Robbe-Grillet, pour toute son ambiguïté, évoque néanmoins assez clairement un contexte colonial (le « scènes » ont lieu sur une plantation de bananes). Quel est le rapport entre ce contexte colonial et l’anti-narration de La jalousie ? Afin d’éclairer ce rapport, examinons une des nombreuses

Confessions.  Il semble revêtir une connotation positive. « Bizarre » rejoint l’adjectif « autre ». Il est autre car il ne vit que dans l’imagination, il a connu la fiction avant la réalité, il est donc d’une autre trempe. On retrouve ici la même ambiguïté que précédemment. La différence est déplorée car elle fait de lui un être à part, mais en même temps on observe une certaine complaisance à décrire cette singularité qui fait de lui un être exceptionnel. La différence se retrouve jusque dans la syntaxe

"Bienveillance du signe" = On fait naïvement confiance au sens littéral des signes, le texte ne nous trompe pas. Ce qui représente le rapport au texte au XVIeme siècle c'est l'idée d'une transparence entre le texte et ce qu'il signifie. L'absence de toute ambiguïté (on trouve cette idée dans la conception littéraliste des textes religieux : il faut prendre les textes au pieds de la lettre, ne rien en changer). Le XIXeme siècle va transformer le rapport au texte, il y a un climat de suspicion qui règne à l'égard