Amour Impossible Le Misanthrope

l’emporte sur la raison. | La place de l’amour | L’amour a une seconde place par rapport à des passions plus mâles (la vengeance, l’ambition). | L’amour est le sujet des tragédies : une passion irrésistible, irrationnelle, égoïste, impossible, jalouse. | Fondement de l’amour | L’amour est fondé sur l’estime et l’honneur. | L’Amour se fonde sur la passion et la jalousie extrêmes : c’est un fléau qui envahit l’âme du héros et qui lui ôte toute liberté. | Personnages

beaucoup lui demander. Ce serait une naïvité de croire qu’il est naturellement bon ou raisonable (l’infulence du courant libertin). Un pessimisme profond apparaît au contraire dans l’oeuvre de La Rochefoucauld et de Racine : l’homme est esclave de son amour propre et de ses passions. Les passions sont mauvaises en elles-mêmes et la raison (la volonté) est impuissante à les maîtriser. L’analyse pessimiste est présente aussi dans l’oeuvre de Pascal (l’influence de jansénisme). On peut diviser le XVIIème

tragicomédie Cinna (1642), tragédie Le Cid Le Cid, entre succès et polémiques •  Genre : tragicomédie •  Édition de référence : Le Cid, in Œuvres complètes, tome 1, Paris, Gallimard, coll. « La Pléiade », 1980 •  1re édition : 1637 •  Thématiques : amour, honneur, mariage, duel, mort, vengeance Pierre Corneille, né en  1606 et décédé en 1684, est, Le Cid, pièce représentée pour la première fois en 1637, théâtre du xvii  siècle en France. Son œuvre est abon- Elle met en scène Rodrigue, un jeune

Notes Du côté de chez Swann : Un amour de Swann, Marcel Proust, Folio, 1972, p.227-450. 26.10.11 (consulter aussi l’édition Pléiade !) Pourquoi rapprocher cet ouvrage des nouvelles de Zweig ? -fine analyse des sentiments : désordre créé par la passion = jalousie -genre bref (plus pour Zweig que pour Proust) -p.237 : Rencontre de Swann (S.) et d’Odette (O.), annonce de la fin d’Un Amour de Swann (UAS) : « il regrettait (…) que la grande beauté qu’elle avait ne fût pas du genre de celles

Ces derniers y retrouvent le frère de Mathilde, Adrien, accompagné de sa femme Marthe et son fils Mathieu. Une fois les liaisons renouées, le conflit est omniprésent à tout moment dans la pièce afin de dénoncer à quel point l’égalité des êtres est impossible. C’est d’avantage à travers la création de ces duos de personnages que le conflit est clairement exprimé. Les quiproquos sont nombreux et les moments où une paire ne s’entend pas s’accumulent due au manque de communication ou parfois même au fait

tient pas deboutb. Le thème de l'inconstance exalté :• Double réseau lexical : droit, justice – plaisir, douceur (paradoxalement lié voc guerre)• Victoire pour DJ est fin désir mais aussi nouveau départ : supporte pas 'tranquillité', tout plaisir amour est dans changement, il respecte loi nature, et prétend rester honnête2) Une image plutôt conforme à celle du Dom Juan :a. Un être qui déborde plaisir : ¤Registre lyrique¤• Expressions hyperboliques ('rien de si doux') montrent

311-365), Une tirade comique, l’ « humeur bataillarde », la double énonciation et la raison d’être de ce morceau de bravoure. b)Le nœud : La tirade des « Non, merci ! » (II, 8, v. 965-1005), Cyrano « moraliste classique », à la manière du Misanthrope de Molière ? La scène du baiser (III, 7), vers 1441 à 1480. Une déclaration à double voix, du lyrisme à l’émergence du pathétique (lecture analytique prise en charge par Lise Marcon). c)Le dénouement : un respect surprenant des principes aristotéliciens

équilibrant les autres figures de pouvoir, il sert de confident aux deux protagonistes. Georges Bonnefoy dit, fort pertinemment, que « face à deux jeunes gens qui s’aiment, sans vouloir se l’avouer à eux-mêmes », le Quaker est celui « qui devine leur amour pour eux et avant eux ». Mais il ne précise pas que ce troisième personnage fait tout ce qu’il peut pour maintenir séparés les deux premiers. Il ajoute que le vieillard «  se trompe, ses intentions sont bonnes, ses actes désastreux ». il omet de préciser

Pacifique. Elle y avait placé toutes ses économies. Trompée, par les administrateurs du cadastre à qui elle avait acheté l’affaire, elle ne peut que déplorer, à chaque montée des eaux salées, les désastres que celles-ci occasionnent, rendant impossible toute culture. Soutenue par les paysans et agriculteurs de la région, elle essayera de poursuivre les administrateurs du cadastre, en vain. Dans un dernier espoir, elle tentera de faire face au désastre, toujours accompagnée de ces paysans bienveillants

équilibrant les autres figures de pouvoir, il sert de confident aux deux protagonistes. Georges Bonnefoy dit, fort pertinemment, que « face à deux jeunes gens qui s’aiment, sans vouloir se l’avouer à eux-mêmes », le Quaker est celui « qui devine leur amour pour eux et avant eux ». Mais il ne précise pas que ce troisième personnage fait tout ce qu’il peut pour maintenir séparés les deux premiers. Il ajoute que le vieillard «  se trompe, ses intentions sont bonnes, ses actes désastreux ». il omet de préciser