Amuser Instruire

explore et transforme la fable antique, signe de son appropriation du genre. Il déséquilibre la dichotomie classique de la fable et de son époque (plaire/instruire): il éduque, certes, mais divertit aussi. Ce divertissement semble, la plupart du temps, plus important que tout le reste:Le monde est vieux, dit-on: je le crois, cependantIl le faut amuser encor comme un enfant. (Livre VIII, 4) L'interprétation classique de cette fable nous informe que la fourmi triomphe sur la cigale, puisqu'elle a, au

pense plus qu'à une chose, la mort injuste de ces amoureux. Bien que le spéctateur sait que ce qui ce passe sur scène n'est pas réel, il prend à coeur l'histoire en prenant en compte ses propre experiences et sa psychologie personnelle. Pour pouvoir instruire et corriger les esprits, le théâtre doit d'abord plaire et émouvoir le spéctateur. Meme dans le coté divertissant du théatre, on fait passer une morale mais de manière détournée, plus inconsciente et plus subtile mais qui, par ce coté distrayant

1/02/2021 Sujet : La fantaisie empêche-t-elle l’usage de la raison ?Plan : Reformulation problématique. I) Concession : certes, il est des cas où la fantaisie favorise la Raison.· Plaire et instruire : un récit plaisant est essentiel pour mieux véhiculer la morale.· Morale implicite : le récit fait lui-même réfléchir et est au service de la raisonII) Opposition : Mais, il en est d’autres· Fantaisie pose un souci du réalisme · Le récit : un texte

bon roi ; mauvaise religion VS bonne religion) Pourtant, le rire et la fantaisie n’empêchent pas la réflexion, au contraire : pas de contradiction. 3. Le rire permet de véhiculer la réflexion :Rappel du précepte « placere et docere » : plaire et instruire. Le plaisir que le lecteur prend à la lecture d’une œuvre au service de la réflexion. 3.1 Vertus contestataires du rire, de la caricature : personnages tournées en ridicule (les sophistes, Picrochole et ses hommes dans Gargantua) : met le lecteur

Ecrire est une démarche efficace pour s'exprimer. C'est un moyen puissant de communication. Depuis des siècles, les écrivains cherchent à instruire et dénoncer par le biais de leur œuvre. Pour transmettre leurs idées, certains écrivains préfèrent utiliser des personnages et des situations imaginaires, ayant ainsi recours à la fiction. Ainsi, ils veulent éveiller la curiosité et la sensibilité du lecteur et provoquer son adhésion à leur œuvre. «  Il y a certaines vérités qu'il ne suffit pas

au texte versifié mais aussi saisir la portée argumentative du discours. Par conséquent, les procédés musicaux et rythmiques doivent être analysés au même titre que la leçon donnée par le poème. N’oubliez jamais la double visée de l’apologue : instruire certes, mais aussi plaire. Il s’agit alors de relever et d’analyser les procédés rhétoriques aptes à séduire le lecteur. 2.3 Trouver les axes de lecture Vous pouvez d’abord consacrer une partie à la dimension argumentative du poème et à la leçon

|combat contre l'optimisme, le fanatisme et les aberrations de la | |réalité de l'époque, métamorphosée par la satire et la caricature, |société, il choisit le conte : divertissement fait pour amuser et | |se plie aux aléas de l'aventure romanesque du héros. |non pour instruire, celui-ci lui permet en effet une plus grande | | |liberté dans l'intrigue, un rythme rapide des péripéties et une | |

Les Fables Le Pouvoir des Fables livre VIII fable 4 Introduction : Au XVIIème siècle, Jean de La Fontaine (1631-1695) fut un célèbre fabuliste classique. Souvent qualifié de moraliste pessimiste, il se «  sert d’animaux pour instruire les hommes » (Préface à Monseigneur le Dauphin). Cet auteur a puisé son inspiration pour ses Fables chez Esope qu’il entend au départ traduire : c’est l’esthétique classique qui prône l’imitation des anciens. Cet extrait est la fable 4 du livre VII, elle est

sont représenté de manière simplifier de la psychologie humaine. Ils incarnent une seule et unique valeur morale. Ils n’ont qu’une valeur et la suivent jusqu’au bout, soi bon soi tout méchant. Les contes sont en général plaisant, qui vise à amuser, et instruire ; ils incarnent nos rêves et nos peurs. Charles Perrault à travers le Petit Poucet nous a montré comment le conte délivre un enseignement tout en divertissant les lecteurs. Ces contes tires des leçon morale ou philosophique qui sont-elles

et transforme la fable antique, signe de son appropriation du genre. Il déséquilibre la dichotomie classique de la fable et de son époque (plaire/instruire): il éduque, certes, mais divertit aussi. Ce divertissement semble, la plupart du temps, plus important que tout le reste:    Le monde est vieux, dit-on: je le crois, cependant    Il le faut amuser encor comme un enfant. (Livre VIII, 4)    L'interprétation classique de cette fable nous informe que la fourmi triomphe sur la cigale, puisqu'elle