Amylose

305 Spondylarthropathies Joel D. Taurog 306 Vascularites Michael C. Sneller/Carol A. Langford/Anthony S. Fauci 307 Maladie de Behçet Haralampos M. Moutsopoulos 308 Polychondrite atrophiante Bruce C. Gilliland 309 Sarcoïdose Ronald G. Crystal 310 Amylose Jean D. Sipe/Alan S. Cohen 1947 1956 1960 1968 1977 1979 1990 1993 2002 2014 2015 2017 2024 318 Pathologie de l’antéhypophyse et de l’hypothalamus Shlomo Melmed/J. Larry Jameson 319 Pathologie de la post-hypophyse Gary L. Robertson 320 Pathologie

ovarienne, post-partum. | | |Infections rares (fungiques, parasitaires, nocardiose, actinomycose) | | |Amylose | | |Syndrome des ongles jaunes | Tableau 1 : principales étiologies

d’augmentation relative de la concentration du cholestérol dans la bile alors que la concentration de bilirubine est augmentée par rapport à une population contrôle. Cette étude rapporte la prépondérance des calculs de bilirubinate de calcium (57). Amylose L’amylose systémique de type AA du foie est une complication rare des MICI, survenant probablement dans moins de 1% des cas, avec une prédominance nette en cas de MdC et chez les hommes. La survenue de l’amylose hépatique est probablement plus tardive

bactériennes, parasitaires, connectivites, rejet de greffe... ; toxiques (alcool, cocaïne, médicaments, plomb, arsenic, mercure ... ; troubles métaboliques (carence en sélénium), diabète, carence en calcium, en magnésium... ; par surcharge (hémochromatose), amylose, sarcoïdose ...) ; familiales, idiopathiques. - Cardiomyopathies restrictives : ce sont les moins fréquentes. Elles sont le plus souvent dues à des dépôts de substances anormales dans le muscle cardiaque. - Cardiomyopathie hypertrophique: maladie

interstitielle Pneumopathies infiltrantes au cours des connectivites et des vascularites Pneumopathies idiopathiques à éosinophiles (chroniques, aiguës) Autres pneumopathies infiltrantes diffuses - lymphangioléiomyomatose - lipoprotéinose alvéolaire ; amylose ; etc. histoire clinique examen clinique scanner thoracique en haute résolution EFR fibroscopie bronchique avec LBA + biopsies bronchiques (si suspicion de sarcoïdose ou de lymphangite carcinomateuse) pas de diagnostic biopsies trans-bronchiques

cuisson, car l’amidon aura été d’autant plus hydrolysé en glucose que la concentration en enzyme est élevée. C’est pourquoi nous avons intérêt à mesurer l’activité de cette enzyme. - Enfin, la cuisson va permettre de rendre l’amidon cristallin (amylose et amylopectine) sous une forme amorphe, grâce à un phénomène de gélatinisation. La gélatinisation, comme l’illustre le schéma ci-dessous, correspond à une perturbation structurale de l’amylose et de l’amylopectine, ce qui a pour effet de solidifier

un bain acide. Le film est obtenu après traitement avec un agent plastifiant (glycérol) et séchage. L ’amidon est constitué d’un mélange de deux macromolécules, l’une linéaire, l’amylose, et l’autre branchée, l’amylopectine (figure 12). L ’amylose (entre 20 et 30 %) est un polymère linéaire constitué d’unités glucose reliées entre elles par des liens α(1-4) et possède une masse molaire entre 105 et 106. La molécule d’amylose se présente sous la forme d’une hélice. La faible quantité de lipides

(lactose, saccharose et maltose). Quant aux glucides complexes dits polysaccharides, ils se divisent en deux sous-catégories :  Digestibles  Non digestibles Les polysaccharides digestibles sont donc des glucoses complexes tels que l’amidon (amylose et amylopectine). Les sucres complexes non digestibles représentent les fibres alimentaires que l’on retrouve par exemple dans les fruits et les céréales (la cellulose). A quoi sert le sucre ? Elémentaire mon cher Watson ! Le sucre sert à … heu…

artérielle (hyperaldostéronisme) HYPERKALIÉMIES : K>5.2 MEQ/L : Insuffisance rénale, Diurétiques hyperkaliémiants (amiloride, triamtérène, spironolactone), Insuffisance cortico-surrénale, maladie d'Addison, hypoaldostéronisme, acidose tubulaire, diabète, amylose, Syndrome d'hypo-réninisme, anémie hémolytique, thrombocytose, hypoinsulinisme. BILAN PHOSPHOCALCIQUE DÉFINITION Les concentrations de calcium et de phosphore dans le sang doivent normalement être maintenues dans l'organisme à un taux constant.

endocrine multiple Tumeurs, infection, fissure Atteinte du système nerveux central, traumatismes médullaires, neuropathie autonome primaire ou secondaire Anorexie mentale, syndrome dépressif Hypothyroïdie, hypercalcémie, diabète, hypokaliémie, porphyrie, amylose, insuffisance rénale, saturnisme Antiacides (sels de calcium et d’aluminium), anticholinergiques, antiparkinsoniens, opiacés, psychotropes, abus de laxatifs, hypotenseurs, anticonvulsivants, analgésiques, diurétiques On peut également tenter de