Antiphrase

« De l’esclavage des nègres » on constate que Monstesquieu utilise le registre ironique pour la dénonce de l’esclavage. Ce registre est mis en évidence par plusieurs aspects. Premièrement par l’omniprésente ironie qui se traduit par de nombreuses antiphrases comme on s’apperçoit dans la ligne 14 « Il est si naturel de penser que c’est la couleur qui constitue l’essence de l’humanité » ou dans la ligne 19 « chez les Egyptiens, les meilleurs philisophes du monde, était d’une si grande conséquence, qu’ils

pas un plaidoyer mais un réquisitoire contre l’esclavage. II. L’INCOHERENCE DU RAISONNEMENT - Conditionnel + formule hypothétique « si j’avais… » => impensable pour philosophe - Liste des contres arguments : ¤ Arg 1 : « ils ont du » antiphrase ironique car aucune nécessité ¤ Arg 2 : logique apparente qui n’en est pas une (absurde) => esclavage/gourmandise occidentale ¤ Arg 3 : aucune logique ¤ Arg 4 : Dieu aurait fait une erreur ? Montesquieu dénonce qu’on utilise Dieu

passé ayant encore des conséquences dans le présent), champ lexical des émotions douloureuses (« malheur » (x2), «misère »…) et de la souffrance morale et physique, l’ironie envers soi-même et envers les dieux témoigne aussi d’un grande affliction (antiphrase = « Grâce aux dieux ! Mon malheur passe mon espérance ! / Oui, je te loue, ô ciel, de ta persévérance ! »…) + dimension poétique de l’alexandrin = un chant funèbre ici… 2) L’expression de la fatalité L’alexandrin renforce aussi la gravité de

Clouzot, dont le film reste dans toutes les mémoires. Procédés utilisés (ton humoristique) : Jeux de mots, de sonorités, répétitions, énumérations, comparaisons amusantes, noms inventés ou déformés, exagérations, propos absurdes, familiers, antiphrases, oppositions… SA Steeman : l se révèle d'abord dans plusieurs dizaines de bandes dessinées avant 1920, non publiées. En 1924, il publie à l'âge de 16 ans Éphémères, un recueil de contes dont plusieurs étaient déjà parus dans La Nation belge

-péroraison 3/l'elocution 4/l'actio 5/mémoria II/Les pratiques de l'argumentation déliberer c'est réflechier murement, trancher. Confronter des points de vues et prendre une décision. On trouve, des oppositions,des antithèses, des antiphrases,des paradoxes des oxymores ainsi qu'une ponctuation expressive mais aussi des questions rhetoriques. c'est aussi faire appel a des arguments logiques sollicitant la raison, l'intelligence du destinataire. C'est aussi mettre en place une thèse illustree

précisions spatio-temporelles réelles, dialogue au discours direct, champs lexicaux de la vie sociale (métiers, ville…) Satirique : Visée argumentative. S’attaque à une personne ou à un groupe, aux mœurs, aux institutions sociales, à la nature humaine. Antiphrases, figures de l’exagération, éloge paradoxale, implicite moquerie Tragique : thème de la mort; traite de l'impuissance de l'être humain devant un destin qui le frappe soudain. Il suscite une émotion née de la conviction qu'il n'existe plus d'issue

religion - "on ne peut se mettre dans l'esprit que Dieu" ce n'est pas une critique de Dieu mais des hommes qui interprètent le divin. (Lettre persanes "Pape"="grand magicien", se moque de lui mais ne pas athée!) III Ironie - texte en antiphrases, si on admet qu'il est ironique car il affirme alors ce qu'il critique en réalité. - dès la première phrase on a un "si" concessif, qui montre qu'il compte réfuter ce qu'il concède à la thèse adverse (celle qui soutient que les blancs ont le droit

phrases comme « La guerre est tout simplement le contraire de la paix » ou encore «  C’est la destruction de la paix ». Dans le texte Victor Hugo on comprend qui prône la paix parce qu’il fait le réquisitoire de la guerre et il nous le montre par des antiphrases comme « Les carnages, les victoires, Voilà notre grand amour » ou par des oxymores tel que « Les sombres âmes s’allument ». On voit qu’ils soutiennent leur thèse, pour eux la guerre ne sert à rien, Jean Giono nous le montre par des phrases comme

aussi à des puces savantes à la fin de son texte : le déguisement de soldat permet de ridiculiser les guerriers. Son récit est donc lui aussi satirique. Il fait de l’humour en parlant du combat des 10 000 chats qui miaulent et utilise l’ironie par antiphrase dans les expressions « beau rendez-vous », « judicieusement » à propos de l’invention des armes qu’il nomme « instruments commodes ». On retrouve le terme de « gloire » associé à un massacre d’innocents. Mais La Bruyère ne laisse pas son texte dans

dans son sang qui se fige ( Baudelaire) Métonymies : Je bois un verre Oxymores : Cette obscure clarté qui tombe des étoiles. (Corneille) Hyperboles : Je meurs de faim Euphémismes :J’ai un petit creux Litotes : Va je ne hais point (Corneille) Antiphrases : Vous avez raté votre examen. Vous devez être contents ? Antaclanases : Le soir tombait. Il tombait bien d’ailleurs Prétéritions : Je ne vous dirais pas que je suis mécontente Allégories : Marianne, la république française Périphrases : Paris