Antoine de Montchrestien

règles d’origine de la Communauté européenne, Bruxelles : Bruylant, 1999, 202 p. DESPAGNET Frantz, Cours de droit international public, Paris : Larose, 1910, 1430 p. BOULOUIS Jean, Droit institutionnel de l’Union européenne, 6e édition Paris : Montchrestien, 1997, 407 p. De Givry Jean, Droit de l’homme, travail et syndicats, Paris: Éditions universitaire, 1989, 264 p. DINITCH Radmilo A., Essai sur la flexibilité du droit, Paris : Publications contemporaines le Danubien, 1934, 125 p. FILIPP Mark

mercantilistes est sûrement Colbert (ministre de Louis IV) qui défendra notamment les corporations (maître artisans) et les manufactures de biens de luxe. FINIR B et conclusion :!!!!! B) L’émergence d’une vision globale de l’économie (Antoine de Montchrestien, John Locke) 1) Les catégories économiques : l’homo oeconomicus et les lois naturelles, la liberté du commerce 2) Circuits, monnaie et balance du commerce 3) Monnaie, intérêt et travail Conclusion

consulter deux ouvrages différents pour avant/après 1789 Pour le premier grand volet du cours vous pouvez recourir à ces ouvrages forts bien conçus, notamment  : les trois « classiques » : Fr.OLIVIER-MARTIN, "Histoire du droit français", Domat-Montchrestien , Paris, 1948 ou rééd. C.N.R.S., Paris, 1984 (763 pages). A.DUMAS, "Histoire du droit français", La Pensée Universitaire, Aix-en-Provence, 1948 (343 pages). J.ELLUL, "Histoire des institutions", t. 2 : Institutions françaises du Moyen-Âge à 1789

d’autres pays européens tels l’Angleterre. L'augmentation de la richesse, selon cette « école », se fait donc par accumulation d'or et d'argent. * Le mercantilisme français, qui est représenté par des hommes tels que Jean BODIN (1530-1596), Antoine de MONTCHRESTIEN (1575-1621) ou Jean Baptiste COLBERT (1619-1683). Il s'agit toujours d'enrichir l'Etat, mais par le développement industriel. L'Etat doit donner l'exemple en créant de grandes activités comme par exemple des manufactures (c'est le nom que

France au XVIIème siècle, «les compagnies de commerce sont les armées du roi, et les manufactures sont ses réserves». L'objectif de ses «armées» et de repousser les «armées» étrangères. Ainsi pour souligner cette haine du commerce étranger, Antoine de Montchrestien, déclare : « Les marchands étrangers sont comme des pompes qui tirent hors du royaume […] la pure substance de nos peuples […] ; ce sont des sangsues qui s'attachent à ce grand corps de la France, tirent son meilleur sang et s'en gorgent

faillite. La cause de cet enchainement est d'avoir confondu richesse et possession d'or. (ce qui est vrai au niveau d'un individu (microéconomique) ne l'est pas au niveau macroéconomique.   a Les Mercantilismes industriels (Français)   Antoine de Montchrestien : Richesse d'un pays = puissance industrielle (quantité de manufacture que ce pays possède) Prône soutient de l'Etat avec en premier lieu des mesures protectionnistes et des interventions directes de l'Etat par un système de subvention

En favorisant les exportations et en limitant les importations par un protectionnisme très strict, la balance commerciale devenait excédentaire et l’Etat s’enrichissait. Dans son ouvrage « Traité d’économie politique » (1615), le Français Antoine de Montchrestien (1575-1621) fut le premier théoricien moderne du protectionnisme. Ses idées furent mises en pratique par le contrôleur des finances de Louis XIV, Jean-Baptiste Colbert (1616-1688). Le colbertisme permet l’intervention de l’Etat pour favoriser

nous semble-t-il, validée l'analyse notamment développée par René Chapus qui soulignait qu' « acte unilatéral et décision ne se confondent pas : cette dernière est au premier ce que l'espèce est au genre » (Droit administratif général, t. 1, Montchrestien, 15 e éd., 2001, n° 669). On ne devrait donc plus, en droit positif, prétendre qu'un acte administratif non décisoire n'est pas un acte administratif unilatéral et que ce dernier se définit par son caractère normatif ou, si l'on préfère user

« Il n’y a ni richesse ni force que d’hommes... » Jean BODIN (1530-1596) ou Antoine DE MONTCHRESTIEN Les facteurs de la croissance Avec l’investissement, le progrès technique et le commerce international, le travail est un facteur puissant de la croissance économique. Mais plus que la quantité de travail utilisée, c’est l’organisation de la force de travail qui permet véritablement la croissance. En fait, le travail est un facteur de production (avec le capital) mais recouvre également une dimension

supérieur, 2006, 255 p. François GUILHAUDIS, Relations internationales contemporaines, 3ème éd., Litec, 2010, 874 p. Jean-Jacques ROCHE, Relations internationales, 4ème éd., L.G.D.J., 2009, 394 p. Serge SUR, Relations internationales, 5ème éd., Montchrestien, 2009, 592 p. Pour se faire une idée générale de l’évolution historique des relations internationales contemporaines on consultera avec profit : Jean-Baptiste DUROSELLE et André KASPI, Histoire des relations internationales de 1919 à 1945 (Tome