Aphasie

mais il n’a aucune séquelle physique. Il est très angoissé, refuse de s’autoriser à faire des erreurs ou à oublier, alors que Mr L. traumatisé crânien par un accident de scooter, présente des séquelles physiques et cognitives (hémiplégie droite et aphasie, manque d’initiative, trouble de la mémoire). Malgré la différence de leur handicap, tous les deux peuvent être violents par colère ou par protection. MINISTERE CHARGE DES AFFAIRES SOCIALES Pour chaque public rencontré, décrivez les

Apathie : caractère d’une personne qui ne réagit pas, qui paraît sans volonté, sans énergie. Diminution voir disparition de l’affectivité se manifestant par l’indifférence, le manque de réaction émotionnelle et s’accompagnant d’inertie physique. Aphasie : altération de l’expression et/ou de la compréhension de langage en relation avec une atteinte cérébrale. Se trouve dans les états démentiels. Aphonie : perte de la voie. Appétence : désir qui porte à absorber un aliment ou une boisson particulier

repérable par une autre discipline, est concevable. 22 Science et philosophie : le cas de l'esprit (EEG) est pratiquée depuis les années 1920. Et l’autopsie permettait dès le XIXe siècle de mettre en relation des déficits tels que les aphasies et la destruction de certaines aires du cerveau ; le tomodensitomètre (« scanner »), inventé il y a quarante ans, est utilisé quotidiennement depuis plus de vingt. Mais rien de tout cela ne permettait de se faire une idée de l’ensemble des zones

dans le temps et l’espace. Aphasie : manque de mots puis, raréfaction du vocabulaire. Difficulté ou incompréhension des mots. Apraxie : incapacité à réaliser une activité gestuelle malgré la capacité à comprendre les consignes. Agnosie : non reconnaissance des lieux, objets, visages… Ceci entraîne une perte progressive de l’autonomie. En même temps que les désordres progressent, l'affaiblissement des fonctions intellectuelles s'étend aux domaines de la langue (aphasie), de l'adresse des mouvements

troubles du langages, l'apraxie l'agnosie, les fonctions exécutives, le jugement et les trouble Mnésiques. Pour les troubles du langage on parle d'aphasie. C'est à dire que la personne n'est plus capable de comprendre et de produire du langage. Cette aphasie s'installe progressivement. Au début de la maladie, ce sont seulement les phrases longues et compliquées avec un vocabulaire élaboré qui posent problème pour la compréhension. Ensuite même des phrases simples deviennent difficiles à comprendre.

n’altèrent pas les capacités mentales) sont dû à des souvenirs refoulés dans la mémoire (un passé qui ne passe pas). Elles peuvent se transformer en hystérie (manifestation organique et psychique de névroses : convulsions, hallucinations, paralysies, aphasies…). Les symptômes manifestent des désirs refoulés : la maladie mentale est à la fois une défense contre la réalité extérieure (négation) et un refuge contre la pression des pulsions intérieures. La psychanalyse étudie aussi dans la vie quotidienne

provoquées par cette rupture d’anévrisme. La douleur. Elle utilise des mots forts qui se répercutent particulièrement bien et de fait permet au lecteur de s’approprier ce ressenti. Elle nous décrit une intermittence d’inconscience et de conscience, une aphasie, et surtout une douleur très intense dans la tête dont elle se souvient au travers « seulement du sentiment d’être envahie, écrasée, habitée par quelqu’un d’autre12 ». Mais si elle a très mal, sur le moment, cette douleur ne s’accompagne pas de peur

cost(o), cox(o), dactyl(o), disc(o), gon(o), médull(o), myél(o), my(o), névr(o), neur(o), ophtalm(o), osté(o), ot(o), pod(o), rachid(o), spondyl(o), tendin(o), tén(o), thorac(o). Terminologie Akinésie, amnésie, amyotrophie, anesthésie, ankylose, aphasie, arthroplastie, arthrose, ataxie, cal, dégénérescence, hémiplégie, hernie discale, lombalgie, myalgie, orthopédie, ostéoplastie, ostéoporose, ostéosynthèse, paraplégie, tétraplégie. 2/ Pôle « Fonctions de nutrition » Nutrition En quoi l’alimentation

provoquées par cette rupture d’anévrisme. La douleur. Elle utilise des mots forts qui se répercutent particulièrement bien et de fait permet au lecteur de s’approprier ce ressenti. Elle nous décrit une intermittence d’inconscience et de conscience, une aphasie, et surtout une douleur très intense dans la 10 11 Ibid. p. 19 Ibid. p. 20 5 tête dont elle se souvient au travers « seulement du sentiment d’être envahie, écrasée, habitée par quelqu’un d’autre12 ». Mais si elle a très mal, sur le moment

attention vous allez me faire tomber !! » . A) Lors de la réfection d’un pansement…. Mme Z., 80 ans, a été hospitalisée il y a deux mois pour une paralysie au niveau des vertèbres lombaires L1 et L2, ainsi que pour un déficit massif à droite avec une aphasie mixte suite à un accident ischémique transitoire. Mme Z. est victime de fausses routes entraînant chez elle une peur de s’alimenter et de s’hydrater avec pour conséquence une dénutrition et une déshydratation confirmées par les signes hématologiques