Artillerie

la puissance de feu et de destruction a été considérablement augmentée. Deux armes permettent de dominer le champ de bataille de 1914-1918: l'artillerie et les mitrailleuses. De plus, les casques ne sont apparus qu'au bout d'un an de combat. Artillerie: Ensemble des canons de tous calibres. Sur le front occidental, la 1GM, a été gigantesque duel d'artillerie, qui a infligé 70% des blessures. Mitrailleuses:Armes caractéristiques de la guerre industrielle. Elles sont extrêmement meurtrières, puisqu'elles

aux Allemands de prendre l'avantage en première partie de bataille.Le général allemand Falkenhayn choisit donc Verdun pour sa vulnérabilité et aussi du fait qu’il n’aura pas à déplacer beaucoup de troupes. Comptant sur la supériorité allemande en artillerie lourde, il va employer la méthode du Trommelfeuer (roulement de tambour) : Les canons ne tirent pas par salves mais en feu à volonté, ce qui effectue un pilonnage continu. La préparation d’artillerie devrait permettre de détruire les défenses du

régiments véhiculent le savoir-être et le savoir-faire du cavalier : audace, intelligence de situation, vitesse d'exécution, panache et fierté de servir. Au cœur du combat interarmes, l'ABC réussit l'équilibre de la tradition et de la modernité. - Artillerie : L'artillerie, au cœur de la mêlée, coordonne, délivre des feux et met en œuvre des moyens au profit d'une action d'ensemble, dans le cadre interarmes. - ALAT : Arme très jeune puisque créée en 1954, ayant longtemps puisé ses références dans

développées pendant la guerre. Elles ont des effets inattendus : le conflit s'enlise rapidement dans une guerre défensive alors que tous pensaient qu'il ne devait pas durer. La mise au point d'une aviation, de tanks, le recours systématique à une artillerie lourde de plus en plus performante et à de terribles armes chimiques (gaz moutarde (ypérite), par exemple) contribuent également à faire de la Première Guerre mondiale le premier conflit « industriel » de l'histoire. • L'association de différents

Tirailleurs sénégalais français sont plus de 300 000. De tels effectifs rendent illusoire une victoire rapide. La stabilisation des fronts à la fin de 1914 provoque l’entrée dans une guerre de position. Face à la puissance de feu des armements (artillerie lourde, armes automatiques) les armées s’enterrent dans des tranchées. Véritable système de fortification en profondeur, elles immobilisent l’affrontement, favorisant la défense, rendant toute offensive terriblement meurtrière et à peu près inefficace

pour le service national. Le corps des officiers des armes ne sera ouvert aux officiers féminins qu'en 1984, dans la limite de 7% pour le Train, les Transmissions, et le Matériel, et 3,5% pour les autres armes (Infanterie, Arme Blindée, Artillerie, Génie et Troupes de Marine). Les dernières restrictions d'emploi tombent et les femmes peuvent désormais servir en unités de combat. 1983 : l'accès des femmes dans le corps des officiers de Gendarmerie est autorisé. Officiers

guer re redondante à notre pays. Les pauvres étaient en train de se reposer pour la prochaine attaque qui normalement devait se produire demain à neuf heures ; qui n'aura pas lieu. Nous nous déplaçons vers le sud pour essayer d'échapper à leur artillerie lourde qui se rapproche de jour en jour. Nos mortiers et armes lourdes ont été abandonne pendant l'attaque, nous n'avons plus de défenses, les nuits sont interminables, il fait froid, mes doigts sont morts ou presque....L'odeur nauséabonde des cadavres

l'effectif est plus variable : entre 70 et 150 hommes selon qu'il s'agit d'Artillerie lourde de siège (Foot Artillery ou Heavy Artillery) ou de campagne (Field Artillery), cette dernière se décomposant en artillerie à pied (appelée bizarrement Mounted Artillery) qui suit l'Infanterie, et en artillerie à cheval (Horse Artillery) qui accompagne la Cavalerie. Une compagnie (ou une batterie) est commandée par un Capitaine secondé par un 1ier Lieutenant, un Sous-lieutenant, un 1ier Sergent, un Sergent fourrier

! Le pilonnage commença. Les obus éclataient de partout, un d’eux tomba dans notre tranchée. Une heure après, le pilonnage s’arrêta. On entendit, en allemand, l’ordre : « baïonnette au canon ! ». Les Allemands sortirent de leurs tranchées notre artillerie pilonna le champs de bataille pour arrêter l’offensive allemande. Là, je devais aller jusqu’à la mitraillette et appuyer sur la détente pour tuer ces pauvres Allemands. Mais je sentis une douleur à l’épaule droite c’était une balle allemande qui

la victoire. Plus le temps passe et plus le moral de la population devient décisif dans le règlement du conflit. Alors chaque camp tente d’asphyxier et de réduire l’autre. La grosse artillerie et l’aviation bombarde à plus de 20Km les villes de l’arrière. Paris est alors bombardée part la " grosse Bertha ", artillerie lourde placée en forêt de Compiègne. Les traces du bombardement allemand de janvier 1918 sont encore visibles boulevard Saint Michel sur les murs de l’école des Mines de Paris. Quant