Autochtones du Québec

d’établissement – Les Canadiens peuvent vivre et travailler n’importe où au Canada, entrer au Canada et en sortir librement, et demander un passeport canadien. • Les droits des peuples autochtones – Les droits garantis dans la Charte ne portent atteinte en aucun cas aux droits et libertés (acquis par traité ou autres) des peuples autochtones. • Les droits relatifs aux langues officielles et les droits à l’instruction dans la langue de la minorité – Le français et l’anglais ont un statut égal au Parlement et dans

colonie Champlain choisit Québec car : - Iroquoiens disparu de vallée du S-L - Près des réseaux d’échanges des PN - Éloigné des zones fréquentées par marchands anglais - Vallée du S-L à propice à agriculture - Défense facilitée à étroitesse du fleuve et promontoire du cap Diamant Premières années difficiles : 20/28 colons meurent de froid, scorbut durant 1er hiver. 1627 : Colonieà4 familles (Louis Hébert, 1er colon en Nouvelle-France) Dossier 1 Autochtones : commerce et évangélisation

dans l’armée, Il est engagé dans l'armée américaine en 1837 jusqu'en 1840, où il aurait fait des dessins de la guerre contre les Séminoles. En 1840, il épousa une canadienne française, Louise Gauthier et s'établit à Montréal d'abord puis ensuite à Québec vers 1853 à 1863 selon certaines sources, tout en retournant occasionnellement en Europe. De 1847 à 1849, il enseigne l'art à l'école de Mme Plimsoll et demeure à Longueuil. Quelques mois avant sa mort survenue en 1872, il retourna vivre aux États-Unis

1,3 milliard de dollars d'ici cinq ans dans la relance du Plan Nord.1 Une réalisation qui s'inscrit dans une vision à long terme et planifiée du développement économique du Québec. Une nouvelle mouture qui contient tous les ingrédients d’une recette mieux préparée et moins ambitieuse qu’en 2011. De ce fait, d'ici 2035, Québec prévoit que les investissements totaux devraient atteindre 50 milliards de dollars2 et ainsi attirer les investisseurs d'ici et de l'extérieur intéressés par des projets de

un pays de 34 millions d'habitants qui occupe la partie septentrionale du continent nord-américain ; c'est le deuxième plus grand pays du monde en superficie (après la Russie)[1]. Habité depuis des millénaires par les Premières Nations (peuples autochtones), le Canada a évolué à partir d'un groupe de colonies européennes en une fédération officiellement bilingue (anglais et français) et multiculturelle, ayant pacifiquement obtenu sa souveraineté de la dernière puissance coloniale, le Royaume-Uni.

politique Depuis 10 ans, la représentation des personnes issues de l’immigration, a augmenté. Cela s’est affirmé à partir des élections communales de 1994. Depuis 1999, ils sont élus à tous les niveaux de pouvoir. Les femmes sont plus élues>< Belges autochtones. C’est cependant plus visible à Bruxelles. Aussi, les partis institués et francophones remportent plus d’élus (PS et ECOLO). > Surtout des Turcs ou des personnes d’origine maghrébine. En 2000, on voit apparaître des échevins issus de l’immigration

Les Inuits sont un peuple autochtone des régions arctiques de la Sibérie et de l'Amérique du Nord (l'Alaska, les Territoires du Nord-Ouest, le Nunavut, le Yukon, le Nunavik (Québec) et le Nunatsiavut (Labrador) ainsi que du Groenland. La conférence inuite circumpolaire regroupe les Inuits et Inuvialuits du Canada, les Kalaallits du Groenland, les Iñupiats et Yupiks de l'Alaska et les Yupiks de Russie. En revanche, les Yupiks ne sont pas des Inuits dans le sens d'une descendance thuléenne. Au Groenland

par manque de place. À Valleyfield, l'organisme Le Centre a dû refuser 500 personnes l'an dernier. À Trois-Rivières, on constate une augmentation de 20 % des personnes dans le besoin chaque année depuis 20 ans à la maison Le Havre. Pour tout le Québec, les données font état de 30 000 itinérants, alors qu'on en comptait 12 000 il y a 20 ans. Un sondage CROP, cité par le RAPSIM dans son communiqué de lundi, montre qu'un Québécois sur six croit qu'il pourrait devenir itinérant. Pierre Gaudreau souligne

villages pour les Inuits et les ont chassés de leurs terres natales. S’adapter à cette situation choquante a été difficile pour eux, malgré le fait qu’ils puissent trouver les ressources dont ils ont besoin n’ importe où. De plus, des Inuits du Nord du Québec ont été envoyés dans l’Extrême-Arctique pour peupler le Grand-Nord. Ils ont conservé le nom de ‘’Éxilés de l’Extrême-Articque’’ car ils n’avaient jamais vécu au Grand Nord et ont du changer complètement leur mode de vie, de leur maisons à leurs méthodes

d’assimiler les amérindiens en encourageant le sédentarisme et l’éducation des peuples autochtones en plus de la christianisation par un missionnaire. En 1857 un nouvel acte fut mis sur pied : « Acte pour encourager la civilisation graduelle des tribus sauvages dans le Canada.» Cet acte permettait au amérindien de devenir « blanc» en s’éduquant et en étant christianisé L’État avait le pouvoir d’émanciper un autochtone ou alors celui-ci pouvait lui-même faire en faire la demande. Cette loi eut comme résultat