Automne

tordus, Cris des lointains, mes cris, mes pauvres cris perdus. Verhaeren Emile, Les Débâcles, 1888. Les Colchiques Le pré est vénéneux mais joli en automne Les vaches y paissant Lentement s'empoisonnent Le colchique couleur de cerne et de lilas Y fleurit tes yeux sont comme cette fleur-la Violâtres comme leur cerne et comme cet automne Et ma vie pour tes yeux lentement s'empoisonne Les enfants de l'école viennent avec fracas Vêtus de hoquetons et jouant de l'harmonica Ils cueillent

UNIVERSITE DU QUEBEC EN OUTAOUAIS DEPARTMENT DES SCIENCES ADMINISTRATIVES PLAN DE COURS COMPORTEMENT ORGANISATIONNEL MNG 1593 BRAULT B-1015 AUTOMNE 2015 3 CREDITS COURRIEL : jlgilles.levasseur@sympatico.ca DISPONIBILITE : sur rendez-vous ‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑ PROFESSEUR : J.L. GILLES LEVASSEUR ‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑‑ DESCRIPTION DU COURS Ce cours vise deux objectifs. Premièrement, de permettre à l’étudiant

saison, associée souvent au temps qui passe, a la mort, aux souffrances de l’amour et, partant, aux fins des amours, sa saison privilégiée. ll s’ecrit d’ailleurs : << Mon automne éternelle ô ma saison mentale ». Dans le poème << Signe >>, il rappelle cette idée : << Je suis soumis au chef signe de l’Automne ». C’est pourquoi Automne malade s’inscrit naturellement dans cette optique. ’ I - La thématique de l'automne renouvelée par l'univers personnel du poète emblée, dès la première strophe, l'automne

L'Assommoir est un roman d'Émile Zola publié en feuilleton dès 1876 dans Le Bien public, puis dans La République des Lettres1 avant sa sortie en livre en 1877 chez Georges Charpentier. C'est le septième volume de la série Les Rougon-Macquart. C'est un ouvrage totalement consacré au monde ouvrier et, selon Zola, « le premier roman sur le peuple, qui ne mente pas et qui ait l'odeur du peuple »2. L'écrivain y restitue la langue et les mœurs des ouvriers, tout en décrivant les ravages causés par la misère

sont des Christ d’une autre forme et d’une autre croyance Ce sont les Christ inférieurs des obscures espérances Adieu Adieu Soleil cou coupé (Guillaume Apollinaire, Zone) *** Automne malade et adoré Tu mourras quand l'ouragan soufflera dans les roseraies Quand il aura neigé Dans les vergers Pauvre automne Meurs en blancheur et en richesse De neige et de fruits mûrs Au fond du ciel Des éperviers planent Sur les nixes nicettes aux cheveux verts et naines Qui n'ont jamais aimé Aux

Ce livre numérique ne comporte pas de dispositif de cryptage limitant son utilisation, mais il est identifié par un tatouage permettant d’assurer sa traçabilité. SOPHIE AUDOUINMAMIKONIAN Indiana Teller Tome 3 : Lune d’automne Déjà parus : Tome 1 : Lune de printemps Tome 2 : Lune d’été À paraître : Tome 4 : Lune d’hiver © Sophie Audouin-Mamikonian, 2013 Tous droits de traduction, d’adaptation et de reproduction réservés pour tous pays. © Éditions Michel Lafon, 2013 7-13, boulevard Paul-Émile-Victor

Commentaire Littéraire« Automne Malade » ; G.APOLLINAIRE Guillaume Apollinaire est un écrivain français du XX siècle né en 1880 et- mort en 1918. Il est surtout poète et est connu pour la publication de deux ouvrages majeurs : Alcools , publié en 1913 et Calligramme, publié en 1918. Le texte que nous allons étudier provient du recueil d'Alcools et s'intitule « Automne Malade ». L'auteur y aborde des thèmes comme les saisons ou bien la nature. Nous pouvons nous demander quel « message » le poète

ciseaux). Le temps -utiliser correctement les indicateurs temporels et chronologiques : avant / après Le monde du vivant -observer des arbres (en vrai et en photo), récolter des fruits. - prendre en compte les changements qui se produisent en automne. - découvrir un fruit d’automne : le marron L’espace -savoir se repérer dans l’espace feuille. -se repérer dans un labyrinthe, suivre un chemin. -réaliser un algorithme simple ab ab. Découvrir le monde Les formes et grandeurs -reconnaître

Les Sept Merveilles du monde sont les œuvres d'art considérées par les Anciens comme les plus remarquables. Cette énumération est due à Philon de Byzance au IIIe siècle av. J.-C.. Ce sont les pyramides de Gizeh, les jardins suspendus de Babylone, la statue de Zeus à Olympie, le colosse de Rhodes, le temple d'Artémis à Éphèse, le Mausolée d'Halicarnasse et le phare d'Alexandrie. Cette classification est l'un des derniers témoignages de l'unité du monde antique avant l'époque romaine. Les sept

rien, ni votre amour, ni le boudoir, ni l'âtre, Ne me vaut le soleil rayonnant sur la mer. Et pourtant aimez-moi, tendre coeur! soyez mère, Même pour un ingrat, même pour un méchant ; Amante ou sœur, soyez la douceur éphémère D'un glorieux automne ou d'un soleil couchant. Courte tâche! La tombe attend ; elle est avide ! Ah! laissez-moi, mon front posé sur vos genoux, Goûter, en regrettant l'été blanc et torride, De l'arrière-saison le rayon jaune et doux ! La lecture analytique ne