Aux Arbres Victor Hugo

suscitant toujours de vives critiques au cours des siècles. Ainsi, Victor Hugo, auteur français du XIXème siècle, déclara qu'il s'agissait du "domaine où tout est à la fois vrai et faux". Qu'est-ce que le faux dans le théâtre si ce n'est le théâtre lui même tout entier ? En quoi peut-on affirmer qu'il y a une part de vérité dans le théâtre ? BONNE INTRO I) 1) Comme le dit Victor Hugo «Le théâtre n'est pas le pays du réel: il y a des arbres en carton, des palais en toile, un ciel de haillon, des diamants

la personnificationou l'animation | évocation d'une chose ou d'une idée sous les traits d'un être humain, d'un dieu ou d'un animal | « Je vis les arbres s'éloigner en agitant leurs bras désespérés » — Marcel Proust, À l'ombre des jeunes filles en fleurs, Deuxième partie « [...] la grande RépubliqueMontrant du doigt les cieux ! » — Victor Hugo, Les Châtiments, À l’obéissance passive | l'allégorie | représentation concrète d'un élément abstrait | « Mon beau navire, ô ma mémoire »

4°D Rédaction Ce poème intitulé « vieille chanson du jeune temps » extrait du recueil « Les Contemplations » à été composé par Victor Hugo en 1856 à l’occasion d’un souvenir d’une balade en forêt avec une jeune fille. Ce poème est composé de trente-six vers répartis en neuf quatrains d’heptasyllabes en rimes croisées. Le poème raconte tout simplement une histoire d’amour ratée,

Corpus de textes: Texte A : Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal, “A une passante”, 1857 Texte B : Victor Hugo, Les Contemplations, « Elle était déchaussée… », 1856 La femme a toujours été considérée comme la muse du poète , sa source d’inspiration. C’est le cas de Baudelaire dans son poème « A une passante » extrait de son recueil Les Fleurs du Mal publie en 1857 (Texte A) et de Victor Hugo dans son poème « Elle était déchaussée… » extrait des Contemplations en 1856 (Texte B) qui racontent

Substitution la personnification ou l'animation évocation d'une chose ou d'une idée sous les traits d'un être humain, d'un dieu ou d'un animal « Je vis les arbres s'éloigner en agitant leurs bras désespérés » — Marcel Proust, À l'ombre des jeunes filles en fleurs, Deuxième partie « [...] la grande République Montrant du doigt les cieux ! » — Victor Hugo, Les Châtiments, À l’obéissance passive l'allégorie représentation concrète d'un élément abstrait « Mon beau navire, ô ma mémoire » — Guillaume

feuilles de l’autiomne → deux termes confondus en une seule réalité Métaphore in abstentia → du comparant : comparant absent est évoqué par un mot qui appartient au même champ lexical que lui « Les étoiles volaient dans les branches des arbres » (Victor Hugo) comparé : les étoiles ; comparant absent : les oiseaux évoqués par le verbe voler qui appartient à ce champ lexicale → du comparé : comparé absent est évoqué par des mots appartenant à son champ lexical ou par le contexte «  Des pensées

Suite Cours Texte1 : Victor Hugo, Les Contemplations, « Ce que dit la bouche d’ombre » p.236Introduction : Voir coursI- La rencontre entre la mort et le poète (voir cours)II- Le questionnement de la mort :La mort transporte le poète au bord du gouffre qui représente le deuil de l’homme ; il le contemple, elle lui parle et il rapporte ses révélations au discours direct dans la longue tirade du vers 7 au vers 34. Dès lors le poète devient prophète, il est inspiré, transporté par elle (v.5) parle en

comparant : feuilles de l’autiomne → deux termes confondus en une seule réalité Métaphore in abstentia → du comparant : comparant absent est évoqué par un mot qui appartient au même champ lexical que lui « Les étoiles volaient dans les branches des arbres » (Victor Hugo) comparé : les étoiles ; comparant absent : les oiseaux évoqués par le verbe voler qui appartient à ce champ lexicale → du comparé : comparé absent est évoqué par des mots appartenant à son champ lexical ou par le contexte «  Des pensées, des

 La poésie romantique. Les Contemplations, Victor Hugo : 1, « Demain, dès l'aube » Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne, Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends. J'irai par la forêt, j'irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera

 La poésie romantique. Les Contemplations, Victor Hugo : 1, « Demain, dès l'aube » Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne, Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends. J'irai par la forêt, j'irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera