Azouz Begag

ne sont ils pas des êtres humains ? Je pense dés lors que le racisme vient de la difference ; l'homme a peur de ce qu'il ne connait pas , de ce qui est pas pareil a lui . Le racisme est propre aux société économiquement développé et comme dis Azouz Begag, sociologue et écrivain, si les autorités politiques n'avaient pas répondu , en 1988, par les chars et la violence aux soulévement des jeunes en milieu urbain qui demandaient leur intégration à la manne pétroliére et gaziére, l'algérie n'en serait

FICHE DE LECTURE LE TITRE: Quand on est mort, c'est pour toute la vie DATE DE PREMIERE PUBLICATION: 1998 EDITEUR: Gallimard NOMBRE DE PAGES: 137 L'AUTEUR: Azouz Begag NATIONALITE: Française NE EN: 1957 à Villeurbanne AUTRES OEUVRES: - Le Gone du Chaâba - Un train pour chez nous - La guerre des moutons - Les temps des villages GENRE LITTERAIRE: Roman NARRATEUR: Je de personnage

vérité de l’homme au cœur de la misère. La langue violente et argotique respire l’authenticité et la révolte. Ce livre peut faire penser à un titre plus actuel, Le gône du Chaaba de Azouz Begag , récit d’une enfance dans un bidonville de Lyon. Mais Calaferte refuse tout système scolaire alors que le petit Azouz s’intégrait grâce à l’école. Un livre primordial, la voix du peuple déchu érigée en chef d’œuvre….

pour les élections a un seul tour, dites listes Chabada en ref a la chanson de Claude Lelouche) Principe du nombre égal d'h et de femmes par tranches de six candidats Femmes sont biens représentées dans la sphère de l'Exécutif: Tokia Saifi, Azouz Begag 2005, Fadela Amara Rama Yade et Rachida Dati 2007, Nora Berra en 2009 A part Dati, personnalité peu marquée politiquement, n'occupant pas vraiment de très hauts postes 1) La discrimination positive territoriale Discrimination territoriale

qui s'étaient réfugiés dans un transformateur EDF pour échapper à la police sont décédés. Les autorités affirment que les policiers n'ont pas poursuivi les victimes. Une quinzaine de véhicules sont incendiés. 30/10 : Azouz Begag critique le ministre de l'intérieur Azouz Begag, ministre délégué à la promotion de l'égalité des chances, critique indirectement son collègue de l'intérieur sur France 2. "Il ne faut pas dire aux jeunes qu'ils sont des racailles, il ne faut pas dire aux jeunes qu'on va

d’un énorme échec. Ils sont alors des exilés, éloignés de leur proche, de leur tribu, et obliger à souffrir la discrimination raciale dont ils sont victimes. Cette situation est notamment l’un des thèmes du roman intitulé Le Marteau pique-cœur de Azouz Begag (2005). A travers un récit autobiographique, l’auteur décrit la souffrance qu’a vécue son père Abboué. Ainsi, obligé de subvenir aux besoins de sa famille restée en Algérie, il est contraint de vivre dans le béton des usines françaises. L’immigré

0 Bavardages (Sources : G.Felouzis, “Interactions en classe et réussite scolaire”, RFS, 1993) SOCIALISATION FAMILIALE ET DESTINEE SOCIALE Introduction :  Amorce = L'ex-ministre Rachida Dati, le sociologue Pierre Bourdieu, l’ancien ministre Azouz Begag, sont de parfaits exemples d’une ascension sociale que l’on peut attribuer à leur réussite scolaire et, semble-t-il, à leurs qualités individuelles. Mais, il existe aussi de nombreuses lignées familiales (Dassault, Lagardère, Riboud…) qui ne doivent

plus grand. Et pas au bout du monde. Là, à deux pas, sur le même palier, il y en a un qui est vide avec les WC à l’intérieur, la douche à l’intérieur et deux fenêtres qui donnent sur la rue Etienne-Marcel. (p.11) Comme dans Le Gone du Chaâba de Azouz Begag, par exemple, ou Le Harki de Meriem de Mehdi Charef, où le bidonville, comme ghetto et espace marginal et marginalisé, traduit parfaitement la position ambiguë du pouvoir politique Français vis-à-vis de l’Etranger (l’immigré et le harki), on peut

généralisé, il est rejeté par des écrivains comme Azouz Begag car il sert à présenter tous les jeunes d’origine maghrébine comme un groupe homogène ayant tous les mêmes caractéristiques sociales. En outre ce terme occulte le fait que ces jeunes sont des citoyens français. D’après Begag, « on ne peut pas décliner à l’infini les générations issues de l’immigration, de la première à la énième. Un jour, il faut savoir dire, ils sont Français » Begag (1990). Malgré la controverse autour de ce terme

le jour en 2007. | |Etudier la place du Pont, dans le quartier de la Guillotière, sur la rive gauche du Rhône, de l’autre côté de | |la place Bellecour, nécessite donc de prendre en compte cet héritage dont parle Azouz Begag, ce « gône du | |Chaaba ». Ce quartier fut un foyer de peuplement immigré : des Grecs, des Italiens, des Arméniens, des | |Maghrébins, des Chinois, et récemment des ressortissants des pays de l’Est.