Bachar el-Assad

révolutionnaires nationaux[2] sont aussi qualifiés de révolutions arabes, de révoltes arabes ou encore de « réveil arabe[1] ». Ces évènements ont commencé le 17 décembre 2010 dans la ville de Sidi Bouzid par la révolution en Tunisie qui a conduit Zine el-Abidine Ben Ali à quitter le pouvoir. D’autres peuples reprennent à leur tour le slogan « Dégage ! » (ou Erhal ! en arabe[2]) devenu le symbole de ces révolutions[ ][][][][][. Outre le départ des dictateurs et l’instauration d’une démocratie, les manifestants

l'intervention de l'O.N.U à permis de chasser KHADAFI ! (même si d'autres manifestations finissent dans le sang comme au BAHREIN...) Profitant de cet essor de démocratie, le peuple SYRIEN décide lui aussi de se rebeller et de chasser l'ignoble famille ASSAD du pouvoir. La révolution commence donc en Janvier 2011, en suivant l'exemple des Egyptiens avec des appels sur Facebook et You Tube pour déclarer une JIHAD (« guerre sainte ») contre le gouvernement. Mais la répression qui à lieu et les hauts

mouvements révolutionnaires nationaux sont aussi qualifiés de révolutions arabes, de révoltes arabes ou encore de « réveil arabe ». Ces évènements ont commencé le 17 décembre 2010 dans la ville de Sidi Bouzid par la révolution en Tunisie qui a conduit Zine el-Abidine Ben Ali à quitter le pouvoir. D’autres peuples reprennent à leur tour le slogan « Dégage ! » devenu le symbole de ces révolutions. Outre le départ des dictateurs et l’instauration d’une démocratie, les manifestants exigent un partage des richesses

révolutionnaires nationaux1 sont aussi qualifiés de révolutions arabes, de révoltes arabes ou encore de « réveil arabe2 ». Ces évènements ont commencé le 17 décembre 2010 dans la ville de Sidi Bouzid par la révolution en Tunisie qui a conduit Zine el-Abidine Ben Ali à quitter le pouvoir. D’autres peuples reprennent à leur tour le slogan « Dégage ! » (ou Erhal ! en arabe3) devenu le symbole de ces révolutions4,5,6,7,8,9. Outre le départ des dictateurs et l’instauration d’une démocratie, les manifestants

révolutionnaires nationaux2 sont aussi qualifiés de révolutions arabes, de révoltes arabes ou encore de « réveil arabe3 ». Ces évènements ont commencé le 17 décembre 2010 dans la ville de Sidi Bouzid par la révolution en Tunisie qui a conduit Zine el-Abidine Ben Ali à quitter le pouvoir. D’autres peuples reprennent à leur tour le slogan « Dégage ! » (ou Erhal ! en arabe4) devenu le symbole de ces révolutions5,6,7,8,9,10. Outre le départ des dictateurs et l’instauration d’une démocratie, les manifestants

D'ailleurs, il se rendra ensuite à Téhéran pour le sommet des Non-alignés, une première depuis la rupture diplomatiques de l’Egypte avec l’Iran. Pour autant, il donne des gages aux Etats-Unis, en prônant une mise à l’écart du président syrien Bachar el-Assad, soutenu par Téhéran. Ce qui ne l'empêche pas, toujours au nom de l'équilibre, de rejeter une solution militaire en défendant un dialogue incluant l’Egypte, l’Arabie Saoudite, la Turquie et l’Iran. fonds monétaire international (FMI)

gouvernement colombien auquel revient la palme de la victoire aurait agi dans ce sens. d) Le voyage en Israël et en Palestine avec deux discours retentissants, et surtout celui devant la Knését à Jérusalem qui fit date. e) Les pourparlers avec Bachar el-Assad qui, à l’instar de Kadhafi, se rapproche des nations civilisées grâce aux efforts du président français. f) Le sommet qui doit réunir les pays riverains de la Méditerranée à Paris où seront présents tant d’Etats arabes avec… Israël ! g)

plus faibles effectifs, avec le poitevin mulassier et le trait du Nord, et l'une des plus menacées de consanguinité. 25 avril : l’armée syrienne intervient dans plusieurs villes contre le mouvement de protestations opposé au régime du président Bachar el-Assad alors que plus de 453 personnes ont été tuées depuis le début du mouvement de protestation. 24 avril : mort de l’actrice française Marie-France Pisier, à l’âge de 66 ans. 23 avril : suite aux protestations, le président du Yémen Ali Abdullah

de fresques, les pro-militaires effacent les oeuvres avec une couche de peinture blanche ou noire. Peine perdue, le street-art, inexistant sous Moubarak, réapparait aussitôt.   Illustration 1: Portrait de Hosni-Tantawi, street-art d'Arafa près de el Tahrir square, Le Caire Au coin de Mohamed Mahmoud Street et de la place Tahrir, on voit un portrait qui mêle les visages du Président déchu Hosni Mubarak et du leader du SCAF (le Conseil suprême des forces armées au pouvoir), Mohamed Hussein Tantawi

ceux-ci paraissent trop ambitieux (l’Egypte de Nasser, la Syrie d’Hafez El-Assad, l’Iran des mollahs ou encore l’Irak de Saddam Hussein). la guerre Iran-Irak (1980-1988 : La république islamique en Iran pays chiite, pousse les chiites du sud de l’Irak a renverser Saddam Hussein, sunnite, ce dernier par crainte d’une contagion du mouvement islamique dans la région et dans l’espoir de s’approprier des zones riches en pétrole du Chat el arab, déclenche la guerre et attaque l’Iran ; 8 années de guerre