Bagdad

Froide, l'URSS étend son influence vers l'Iran et la Turquie. Suite à cela, les États Unis, rétorquent immédiatement et intègrent la Turquie dans le Plan Marshall en 1947 puis intègrent, en 1952, l'OTAN. En 1955, les États Unis signent le Pacte de Bagdad avec le Pakistan, la Turquie, l'Irak et l'Iran et marque alors l'interventionnisme américain dans la région. D'après le président Einsenhower « la raison de l'intérêt de la Russie dans le Moyen-Orient est uniquement celui d'une politique de puissance »

Ci-dessus, le cours du prix du baril de pétrole durant le choc pétrolier de 2008 II- Comment intervenir ? A) Création de l’OPEP L’OPEP (Organisation des pays exportateurs de pétrole) est créée le 14 septembre 1960, lors de la Conférence de Bagdad. Cette organisation vise à regrouper les principaux pays de manière à pouvoir influer sur le cours du pétrole. La prise de contrôle de la production de pétrole se fit par une politique de nationalisation. Étant maîtres de leur production, les pays

Saddam Hussein Abd al-Majid al-Tikriti (arabe : صدام حسين عبد المجيد التكريتي) est un homme d'État irakien, présumément né le 28 avril 1937 et exécuté par pendaison le 30 décembre 2006 à Bagdad. Cinquième président de la République d'Irak, il occupe ce poste du 16 juillet 1979 au 9 avril 2003. Un des membres dirigeants du parti Baas arabe socialiste, il conserve sa position d'influence lors de la scission du parti et dirige la branche régionale irakienne de l'organisation. Dévoué à l'idéologie baassiste

msakhours ». Puis nous pouvons nous intéresser aux ennemis les turcs seldjoucides. Ils sont sous les ordres du turc Toghoroul Beg, deuxième fils de Seldjouc qui fut nommé par le calife de Bagdad « Emir des Emirs ». Il entreprit la reconquête des territoires arabes, à sa mort en 1072 il avait conquis la Perse, l’Irak, Bagdad et une partie du Turkestan. La puissance des turcs seldjoucides ne cessent de se renforcer avec le temps. En quatre décennies, ils se rendent maîtres de tout le Proche-Orient. La Géorgie

l'Occident, participer à la sécurité en Méditerranée orientale, contenir les flux migratoires ». Le Monde arabe est un baril de pétrole qui n’accédait à une visibilité international diplomatique qu’à partir de trois capitales : Le Caire, Damas et Bagdad. Bagdad n’existe plus, le Caire est durablement empêtré dans des conflits internes et il n’intéressera les chancelleries que si un paramètre vient modifier les accords de Camp David et Damas doit prier pour qu’aucune carte ne vienne brouiller le veto

confessionnelle se rappelle obligatoirement au bon souvenir de chaque Irakien : tel intellectuel qui avait fini par oublier qu’il était chiite se voit brutalement ramené à son chiisme ; la peur de ceux d’en-face a vidé des quartiers entiers de Bagdad où les communautés vivaient côte-à-côte ; la capitale s’est hérissée de palissades en bétons séparant des quartiers devenus confessionnellement « purs ». La cité multicommunautaire où les gens vivaient dans des quartiers mixtes est devenue un ghetto

moyens de contenir l’URSS afin qu’elle ne prenne pas de l’ampleur en direction du Sud et des régions pétrolières. Ils contrent ainsi les Etats envisageant de l’adopter. Le bloc capitaliste créera donc le Plan Marshall et d’autres alliances comme le Bagdad Pact, l’OTASE et l’OTAN, toujours dans le but de contenir les communistes. Donc si les Etats-Unis s’intéressent tant au Moyen-Orient, c’est qu’il détient également une position stratégique face à leur crainte première, sans parler de sa figure de

à l'exacte inverse des pur sang arabes, choisis pour leur endurance, leur sobriété et leur vivacité. Ses caractéristiques ainsi que son homogénéité étaient déjà bien établies vers la fin du 1er millénaire, sous la dynastie abasside des califes de Bagdad. Mille ans de vie nomade en milieu hostile rendirent le cheval arabe endurant et sobre. Puis la vie aux côtés des bédouins l'a amené à parcourir de longues distances en peu de temps. Il y a gagné la vitesse et la robustesse.Dans le désert, les dunes

traditionnelles, il parle de canaux, carillons et de beffrois, une image plutôt austère et froide. En parallèle il décrit aussi ce qui pourrait être des scènes de l’Orient, « robes rousses », « Palmiers », « Liban de rêve », « musique inconue » et « Bagdad ». C’est un Orient idéalisé et mystérieux qui fait plus appel aux sens et a la fête. Il parle de « Fête amoureuse », « musique inconnue », « Les sauvages dansent sans cesse la nuit » Il mélange ces deux types de ville d’une manière qui semble contradictoire

Princesse Georges, Paris, théâtre du Gymnase, 1871. La Femme de Claude, Paris, théâtre du Gymnase, 1873. Monsieur Alphonse, Paris, théâtre du Gymnase, 1873. L’Étrangère, comédie en quatre actes, Paris, Théâtre-Français, 1876. La Princesse de Bagdad, pièce en trois actes, Paris, Théâtre-Français, 1881. Denise, pièce en quatre actes, Paris, Théâtre-Français, 1885. Francillon, pièce en trois actes Paris, Théâtre-Français, 1887.