Beau Malheur

voient dans l’œuvre d’art ce qui nous permet d’échapper au déterminisme ou au poids de l’existence, voire ce qui nous permet de triompher de ce qui l’aliène. Ainsi Schopenhauer pour qui le but de l’art est de nous éviter de penser à la mort et au malheur de la condition humaine et Nietzsche qui voit dans l’art une expression de la vie, de la puissance et du génie : « sans l’art la vie serait une erreur » dit-il. Là encore nous ne pouvons pas contester que la création ou le plaisir de l’œuvre nous

contenir des regles precises. Ces regles sont decrites pour la premiere fois par Aristote dans son ouvrage "poetique". Il faut que l'œuvre constitue un ensemble suffisant pour contenir une histoire, des peripeties, le passage du bonheur et du malheur et different personnages. Bref, tout ce qui fait la richesse des actions et des emotions mais sans que cela noie l'attention du spectateur ni ne l'ennuie. Les conseils que donne Aristote reste assez generaux. La limite exacte a ne pas depasser ou

L’art ne doit-il pas représenter la beauté pour être réussi ? Pour répondre à ce questionnement, il faut en premier se demander qu’est-ce que la laideur ? Le laid est quelque chose dont l’aspect heurte le sens esthétique, l’idée que l’on a du beau comme par exemple, un objet laid. La laideur peut être dans un sens physique, mais aussi moral. Qui s’écarte des bienséances ou de ce qu’on pense être bien, moral, honnête : une histoire assez laide. Il faut noter que la représentation du laid dans

côté était un normand. Les deux gars s'étaient toujours bien entendus, jusqu'à ce qu'un événement fâcheux vienne troubler cette harmonie. Le Breton avait une poule qui pondait tous les matins et il allait ramasser l’œuf frais pour son déjeuner. Un beau matin, le Breton aperçoit sa poule sur le terrain du Normand. Elle pond son œuf et le Normand le ramasse. Le Breton sort de la maison en vitesse et demande au Normand de lui redonner l’œuf. Celui-ci refuse car, dit-il, l’œuf a été pondu sur sa propriété

d’elle un objet de préoccupation, lui révèle sa destination et le sens de son humanité. La tension de l’homme vers la beauté est inévitablement empreinte d’inquiétude et de souffrance. Sans la beauté, l’homme se sent inachevé et incomplet. On appelle beau l'objet dont la satisfaction est obtenue par le goût, c'est-à-dire par la faculté de juger un objet ou un mode de représentation, sans aucun intérêt. Si la beauté est lumière, ordre et harmonie –et telle était bien la définition que le monde grec en

mon âme est plus grande en désobéissance, Plus admirable est mon essence… Fontaine, ma fontaine, ô transparent tombeau De maint oiseau blessé qu’ensevelit ton sable, L’âme qui mire en toi Narcisse insaisissable Médite amèrement le malheur qu’il soit beau. Une forme parfaite est-elle donc un crime ? La plus sincère amour veut-elle une victime Qui expie une fois tant d’incestes aux cieux ? Nymphe ! à l’extrémité de mon sort précieux N’espérez point de moi quelque retour suprême… A mon

un véritable sujet de prédilection et ont toujours été une source d’inspiration, un sujet dans l’air du temps. C’est pourquoi nous allons vous présenter au fil de cette préface, vous persuader et vous convaincre que la femme est d’une part un être beau dont l’homme s’inspire pour écrire , quelqu'un qui exerce un pouvoir autour des hommes mais aussi fragile. Cette anthologie est constituée de dix poèmes d’auteurs français ( apart Esther Granek ) du XVI*ème , XIX*ème et XX*ème siècle. Ces poèmes ont

labiales [p] = chaos du convoi + [r] = roulement - Les 3 hémistiches (vers 1, 3 et 4) miment le rythme régulier - univers lié entièrement à la faim et la fuite : poids de la fatalité - Bohémiens méprisés, traqués : Baudelaire fait ressortir le Beau du Laid C. Êtres maudits à la recherche d'un idéal - 2 derniers vers = marche vers un ailleurs, un destin désiré - yeux appesantis/ciel : contraste. Synecdoque "appesantis" (confère "prunelles" au vers 1) - allure de quête, aspirations à un destin

considérer les diverses agitations des hommes et les périls et les peines où ils s’exposent, dans la cour, dans la guerre, d’où naissent tant de querelles, de passions, d’entreprises hardies et souvent mauvaises, etc., j’ai découvert que tout le malheur des hommes vient d’une seule chose, qui est de ne savoir pas demeurer en repos dans une chambre. Un homme qui a assez de bien pour vivre, s’il savait demeurer chez soi avec plaisir, n’en sortirait pas pour aller sur la mer ou au siège d’une place

légére, se sentant plutot comme le héro d'une tragédie sublime. C'est à cet instant que, se retrouvant face à son portrait, Dorian réalise qu'il y à quelque chose de cruel qui est apparu sur son visage peint, alors que son vrai visage est toujours beau et pur. Dorian commence alors à comprendre que son vœux à été exaucé, et enferme le tableau à triple tours dans une salle de son manoir, le surveillant réguliérement. A cet instant, son style de vie change radicallement. Il adopte une vie de plus