Béla Bartók

débute en 1914) s’approche des constructions cubistes de Picasso. Les Cinq pièces pour orchestre de Webern (1913) sont rigoureuses comme les lignes et rectangles superbement équilibrés de Mondrian : l’abstraction à son comble. Ou encore Barbe-Bleue de Bartok (1911) peut être rapproché des violentes fresques de formes anguleuses que Kirschner exposait à la même époque. Source : Michel TABACHNIK , De la musique avant toute chose, Buchet-Chastel, 2008

and a straight look. He generated fear and repulsion. Ugly and fearful, he is the one who correponds the most to Stoker’s Dracula’s physical characteristics. Only nine years passed between Murnau’s Nosferatu and Tod Browning’s Dracula, however, Bela Lugosi gave Dracula an erotic dimension, losing Max Schreck’s power of terror. The face of the vampire changed and as he used to be represented as ugly and repulsive, he became a good-looking man, nice to look at and, above all, a seducer : the two

Unholy Three, 1925) et son chef-d'œuvre de l'époque est L'Inconnu (The Unkown, 1927), dans lequel Lon Chaney n'hésite pas à s'amputer de deux bras pour l'amour d'une belle écuyère. En 1931, il vient de réaliser la première version sonore de Dracula avec Bela Lugosi, puis The Iron Man (1931). C'était l'auteur idéal pour mettre en scène l'univers des « Freaks ».

château de Dracula. Les effets spéciaux donnent une touche indéfinissable au film (on devine aisément les fils accrochés aux chauves-souris), le jeu des acteurs théâtral, mais qu'importe, tout cela contribue à apporter un charme fou à cette œuvre. Bela Lugosi (il avait déjà joué le rôle de Dracula au théâtre en 1927), est prodigieux : les nombreux plans figés sur son visage, son sourire carnassier, et le jeu subtil de lumière sur son regard donnent au personnage un visage volontaire et inquiétant

Brouillon rédaction sur La Marque du vampire . Le personnage du vampire a été souvent porté à l’écran. En 1935, le film de Tod Browning, La Marque du vampire qui met en scène le comte Mora (joué par le célèbre Bela Lugosi) et sa fille Luna, présente une double originalité : tout en semblant jouer avec les clichés du film sur les vampires, celui-ci nous réserve une surprise. Ainsi, nous essaierons de montrer que ce film constitue une parodie du film de vampires mais aussi nous propose une enquête

pour piano composées par Béla Bartók. Bartók était un compositeur et pianiste hongrois qui a vécu de 1881 à 1945. Il a été l'un des principaux représentants de l'école musicale hongroise et est connu pour ses œuvres pour piano, ses compositions pour orchestre et ses enregistrements de musique folklorique. Les Danses roumaines sont l'une de ses œuvres les plus célèbres et ont été largement jouées et enregistrées par de nombreux artistes.Les Danses roumaines de Béla Bartók ont été inspirées par la

(appelée en France « musique répétitive »), courant très important de la musique savante américaine à partir des années 60. Petit, il apprend le piano et joue Mozart. A l’âge de 14 ans il découvre la musique du XXème siècle (Stravinsky, Miles Davis, Bela Bartok, Kenny Clarke, Charlie Parker…1) Batteur de jazz dans ses débuts, très influencé par le jazz « moderne », il étudie les percussions africaines au Ghana, puis le gamelan indonésien aux Etats-Unis. Toutes ces influences se retrouvent dans sa musique

en France « musique répétitive »), courant très important de la musique savante américaine à partir des années 60. Petit, il apprend le piano et joue Mozart. A l’âge de 14 ans il découvre la musique du XXème siècle (Stravinsky, Miles Davis, Bela Bartok, Kenny Clarke, Charlie Parker…[1]) Batteur de jazz dans ses débuts, très influencé par le jazz « moderne », il étudie les percussions africaines au Ghana, puis le gamelan indonésien aux Etats-Unis. Toutes ces influences se retrouvent dans sa musique

et la navigation au lieu de la littérature. C’est donc pour cela que ce n’est qu’en 1978, après une rencontre inopinée avec l’éditrice Françoise Verny sur l’île de Ré, que Yann Queffélec se mit réellement à écrire. Il fait une biographie de Béla Bartok en 1981. Il faut attendre 1985 et Les Noces barbares pour que sa plume soit reconnue et aimée à sa juste valeur. L’histoire raconte la vie d’un enfant issu d’un viol destesté et enfermé par sa mère, le récit de cet amour contrarié et presque impossible

minutes. Check it out Construction : City life est une œuvre en cinq mouvements, qui s’enchaînent sans interruption. Reich utilise une forme en arche A / B / C / B’/ A’ (on retrouve l’influence de Bartok, qui utilisait aussi cette forme). Il alterne les tempos (vif, lent, vif, lent, vif) et utilise des échantillons de voix dans les mouvements 1, 3 et 5. Mouvement | Tempo | Echantillons | Construction | Evocation | Check it out (A) | Vif | « Check