Belette

Culture GénéraleAnalyse :Intro : Fable de La Fontaine, 1678 livre 7, le chat, la belette et le petit lapinEcrit sous forme d’allégorie pour dépasser la censure. Derrière critique de la société, de la cours et de la royautéOn peut voir que dans cette fable, La Fontaine met en scene un littige au sujet de la loi qui est résolu de manière violente et que derrière ce littige se cache une critique de la société. Sous forme de poème -> liberté dans le rythme et dans les sonorités ce qui

Fontaine, Les Fables, Livre VII, Fables VI Le chat, la Belette et le Petit Lapin Du palais d'un jeune Lapin  Dame Belette un beau matin  S'empara ; c'est une rusée.  Le Maître étant absent, ce lui fut chose aisée.  Elle porta chez lui ses pénates un jour  Qu'il était allé faire à l'Aurore sa cour,  Parmi le thym et la rosée.  Après qu'il eut brouté, trotté, fait tous ses tours,  Janot Lapin retourne aux souterrains séjours.  La Belette avait mis le nez à la fenêtre.  O Dieux hospitaliers

la censure. IV- Le Chat, la Belette et le petit lapin a) Une réflexion pessimiste sur la justice -on assiste au délit « Dame Belette un beau matin
S'empara ; c'est une rusée » (vers 2-3) puis la constatation « O Dieux hospitaliers, que vois-je ici paraître ? » (vers 11) - succession de menace « Que l'on déloge sans trompette,
 Ou je vais avertir tous les rats du pays » -un débat ou chaque partie vient plaidoyer sa cause. -discours de la Belette (vers 15) est d’abord rapporté au discours

explicitement comme but de valoriser cette forme. Si elle a un « pouvoir » c’est donc bien qu’elle n’est pas seulement « légère » Cette mise en abyme se retrouve dès la première partie avec « les débats du Lapin et de la Belette » vers 7 et 8, allusion à la fable 16 du livre 7 : Le Chat, la Belette et le petit Lapin. La mise en abyme se retrouve principalement dans la deuxième partie avec l’orateur qui propose une fable au discours direct. Cet orateur est donc une figure du fabuliste, de La Fontaine qui se

explicitement comme but de valoriser cette forme. Si elle a un « pouvoir » c’est donc bien qu’elle n’est pas seulement « légère » Cette mise en abyme se retrouve dès la première partie avec « les débats du Lapin et de la Belette» vers 7 et 8, allusion à la fable 16 du livre 7 : Le Chat, la Belette et le petit Lapin. La mise en abyme se retrouve principalement dans la deuxième partie avec l’orateur qui propose une fable au discours direct. Cet orateur est donc une figure du fabuliste, de La Fontaine qui se

: des Vautours et des Pigeons dans la première et une Mouche dans la seconde. Les deux Coqs fait évidemment intervenir des coqs, ainsi que des poules et un vautour à la fin. Le Chat, la Belette et le petit Lapin et La Tête et la Queue du Serpent font intervenir comme leur nom l’indique un Chat, une Belette, un Lapin dans l’une et La Tête et la Queue d’un Serpent, qui sont considérés comme deux personnages distincts, dans l’autre. La dernière fable Un Animal dans la lune ne fait pas intervenir

réalité des événements est mise en valeur par le temps du présent. Dans un deuxième temps, les faits sont énoncés de manière très simple, selon la logique, un vers, un événement, sauf pour deux cas ou les événements sont racontés sur deux vers, « Deux belettes et deux renards traversent l’endroit où je passe » (v.3 et 4) et « Sur le haut d’une vieille tour un serpent déchire un vautour » (v.15 et 16). La répétition de la même structure crée un effet de litanie. Troisièmement, à la fin du poème, les éléments

Jean de la Fontaine tables des matières : - Chatte métamorphosée en femme (livre 2,fable 18) - Aigle, la laie et la chatte (livre 3,fable 6) - Chat et un vieux rat (livre 3,fable 18) - Cochet, le chat et le souriceau (livre 6,fable 5) - Chat, la Belette et le petit Lapin (livre 7, fable 17) - Chat et le Rat (livre 8, fable 22) - Chat et le Renard (livre 9, fable 14) - Singe et le chat (livre 9, fable 17) - Souris et le Chat-Huant (livre 11, fable 9) - Chat et les deux Moineaux (livre 12, fable

explicitement comme but de valoriser cette forme. Si elle a un « pouvoir » c’est donc bien qu’elle n’est pas seulement « légère » Cette mise en abyme se retrouve dès la première partie avec « les débats du Lapin et de la Belette » vers 7 et 8, allusion à la fable 16 du livre 7 : Le Chat, la Belette et le petit Lapin. La mise en abyme se retrouve principalement dans la deuxième partie avec l’orateur qui propose une fable au discours direct. Cet orateur est donc une figure du fabuliste, de La Fontaine qui se

représente courtisans (« Le lion le loup et le renard » (VIII, 3) « le chat et le renard » (IX, 14) -Personnages comme l’âne, le lapin, le rat, etc … représente le peuple naïf et victime (« Les animaux malades de la peste » (VII, 1) « Le chat la belette et le petit lapin » (VII, 15) 2) Des sentiments typiques Animaux = différents types humains -Hiérarchie animales = Hiérarchie de la société -Des comportements différents selon les animaux : renard = ruse, singe = flatteur excessif) -Rapport