Beyrouth

Auteur : Mona Hatoum, née à Beyrouth au Liban en 1952, est une artiste contemporaine d’origine palestinienne. Elle vit en Angleterre depuis 1975, elle y vient pour une simple visite mais elle se voit dans l’impossibilité de retourner dans son pays natal à cause de la guerre civile au Liban. Son travail s’inspire beaucoup de sa vie personnelle. Ses thématiques sont la guerre, l’exil, la condition de la femme… Œuvre : Bukhara (lieu de commerce de tapis Persan en Asie centrale.) c’est un tapis

exemple : Jean-Paul Kauffman, un grand reporteur à L’Evénement du jeudi. Il a été enlevé à Beyrouth (capitale du Liban) alors que le pays est en guerre civile, le 22 mai 1985 et libéré trois ans plus tard, le 4 mai 1988. Roger Auque, correspondant permanent depuis deux ans à Bagdad pour diverses chaînes de télévision françaises mais aussi canadiennes ou suisses et pour des radios. Il a été enlevé à Beyrouth en 1987 et a été otage pendant un an. Florence Aubenas, grand reporteur pour le journal

Biographie de l’auteur : Amin Maalouf est un écrivain libanais né le 25 février 1949 à Beyrouth. Il a grandi dans un environnement multiculturel : il reçoit un héritage anglophone et protestant de son père, francophone et catholique de sa mère. Sur l’insistance de cette dernière, le jeune Amin est élevé chez les Jésuites puis à l’Ecole Française, dans un quartier de Beyrouth (Ras-Beyrouth) cosmopolite où il côtoie de nombreuses nationalités et cultures (palestiniens, égyptiens, chrétiens

participera pendant 3 mois au mouvement des Black Panthers, aux Etats-Unis. Il commencera un ouvrage sur ce mouvement et les camps palestiniens ,qu'il mettra 15 ans à finir et qui s'appellera Un Captif Amoureux. En Septembre 1982, il se trouve à Beyrouth quand ont lieu les massacres des camps palestiniens de  Sabra et de Chatila. Il en écrira une oeuvre  politique: 4 heures à Chatila .   Atteint d'un cancer de la gorge de puis 1979, il meurt le 15  Avril 1986.

libanaises, réduisant de moitié la richesse nationale, et reléguant le pays au rang de simple coffre-fort à pétrodollars du Moyen-Orient. Cependant, la paix à fortement aidé le gouvernement à reprendre le contrôle du pays, et notamment dans la région de Beyrouth, la capitale, en recommençant à percevoir les taxes et en rouvrant les ports et aéroports internationaux de la ville. De ce fait, le PIB par habitant a augmenté de 353 % dans les années 1990. D'ailleurs, sur cette même période, le Liban se situe

coulés dans du béton /Dimensions : 30 mètres de haut , 5 000 tonnes de béton Contexte historique : La Guerre du Liban est un conflit qui s’est déroulé de 1975 à 1990 faisant entre 130 000 et 250 000 victimes civiles. Description : Sur la route de Beyrouth à Damas, il y a ce curieux monument, cadeau de la France au Liban.Les carcasses de chars et de canons coulées dans une gangue de béton symbolisent la paix retrouvée. Ils sont emprisonnés dans le béton, figés, stoppés net ne pouvant plus avancer.

quelque temps, elle voit sa situation régularisée en décembre 1971. Elle élargit son domaine de prédilection aux questions moyen-orientales. Correspondante de guerre au Bangladesh, en Éthiopie, au Liban, où elle passe trois mois pendant le siège de Beyrouth en 1982, elle couvre également la révolution iranienne pendant plus d’une année. Mais au cours de ses reportages, elle se rend compte de l’importance de la psychologie des gens par rapport aux grands discours politiques. C'est parce qu’elle n’a

romans comme Mon Traitre, ou encore Le Quatrième Mur parut en 2013. /2 2) Le roman se déroule à Paris : « la Faculté de Jussieu », « La gare Saint Lazare », « La Sorbonne », « la rue d’Amsterdam », etc. Mais aussi au Liban plus précisément à Beyrouth et à Tripoli on retrouve des lieux identifiables comme les quarxtiers de Chatila (« il s’était arrêté à l’entrée du cmap de Chatila ») et Chabra, « A une centaine de mètre du carrefour Sodeco »« Achrafieh ». Les lieux sont très précis et les allées-retours

autre que celle du gouvernement libanais ». Mais encore faut-il que le gouvernement libanais estime que les armes du Hezbollah dans le Sud doivent être rendues ; dans le rapport de forces interne au Liban, il est peu probable que les autorités de Beyrouth arrivent à une telle décision, d’autant que le Hezbollah dispose d’un argument de poids : qui protègera le Liban contre d’autres agressions israéliennes ? Le retour de l’armée au Sud (elle était déjà présente, mais faiblement) menace-t-il vraiment

Fiche de lecture Article d’histoire Jean –Louis Dufour, « Beyrouth, ou comment on assiège une ville », in l’histoire, no 190, 1992, pp. 74-77. 1. Choix de l’article. J’ai orienté mes recherches vers des documents portant sur le conflit israélo-palestinien et, plus précisément, sur les conséquences négatives que provoque ce conflit dans la région du Liban. Etant d’origine Libanaise, je m’intéresse à la situation de ce pays, surtout sur le plan politique et éthique. Un pays qui a traversé