Bisexualité

peut servir de référence, il ne peut que confondre et désorienter le choix que peut avoir par exemple un adolescent lorsqu’il tente de se définir. Surgit habituellement à ce stade la bisexualité qui peut être alarmante lorsque l’on pense à tous les préjugés qui discréditent l’homosexualité, d’autant plus la bisexualité. Trop souvent les bisexuelles et les transgenres sont poussés à choisir un des deux sexes, malgré l’ambiguïté et l’inconfort que peut occasionner le choix. Affecter le genre féminin

cas d’homosexualité féminine » (1920). On relève certes des ambiguïtés, des contradictions, mais le courant – celui prônant la « normalité » de l’homosexualité – reste privilégié. La référence centrale est toujours celle de l’Œdipe fondé sur la bisexualité originelle. La conviction de Freud, si l’on en juge par le nombre de textes et la fermeté de l’argumentation, va bien en ce sens. Les extraits que nous proposons sont tous ciblés sur « la nécessaire universalité de l’homosexualité », selon les termes

a l'époque de la Grèce antique cela était « normal » et parfois même valorisé. Il en était de même a Rome, beaucoup d'Empereur partagé une bisexualité, cela était donc dans les mœurs, c'est seulement en 533 avec apparition du 'Code Justinien' que la bisexualité est considéré comme adultère. Le moyen age connait une grande période ou l'homosexualité/bisexualité était accepté puis que ce fut une période de liberté au niveau des mœurs. C'est a partir du XII/XIII avec l'unification des état et des église

souffrance psychique d’un malade vont s’instaurer des fonctions soignantes complexes, qui vont s’articuler autour de deux pôles opposés mais complémentaires dans la manière de s’en occuper. C’est ce que Bernard Golse appelle l’intégration de la bisexualité psychique : tantôt une approche maternante davantage tournée vers la « contenance » et tantôt une fonction paternante située du côté de la limite et du cadre. Dans cette situation de soin, ces deux types de posture se sont retrouvées liées l’une

cas d’homosexualité féminine » (1920). On relève certes des ambiguïtés, des contradictions, mais le courant – celui prônant la « normalité » de l’homosexualité – reste privilégié. La référence centrale est toujours celle de l’Œdipe fondé sur la bisexualité originelle. La conviction de Freud, si l’on en juge par le nombre de textes et la fermeté de l’argumentation, va bien en ce sens. Les extraits que nous proposons sont tous ciblés sur « la nécessaire universalité de l’homosexualité », selon les termes

grecs se voyaient comme perfectible. Ils cherchaient les individus qui avaient atteint l’arété. En temps de guerre cela était facile (meilleur guerrier), en temps de paix comment faire ? Remporter une grande compétition sportive (JO…). L’idée de bisexualité s’est implantée avec les 3 grandes religions (judaïsme, christianisme, islam) qui ont décidé qu’il n’y avait une seule bonne sexualité, celle qui donnait à la reproduction. En Grèce cette idée n’existait pas, les pratiques homosexuelles était normales

décrit antérieurement à propos de Félix et de Ilse, Klein considère que, pour les deux sexes, c’est toujours l’analyse des pulsions et fantasmes homosexuels qui étaye, avec l’accès aux différences générationnelles et sexuelles, l’intégration de la bisexualité psychique. Klein pose l’origine de l’homosexualité masculine par rapport à la « fixation orale au pénis du père » tout en précisant que, lorsqu’il n’y a pas fixation, ce mouvement vers l’homosexualité passive d’incorporation orale du pénis paternel

sexuel à l’œuvre. →4 temps dans l’approche freudienne de l’hystérie. 1. Avec Breuer : Etiologie sexuelle traumatique. Importance du trauma psychique et souvenir inconscient. 2. Cas Dora : Importance réalité psychique et production fantasmatique + bisexualité convoqué par complexe d’Œdipe. 3. Cas petit Hans: Similitude angoisse et hystérie de conversion. 4. Généralisation des conditions d’entrée dans la névrose : théorie de séduction à l’enfance à adolescence. 2. Hystérie primaire infantile et enjeux

d’inversion de la représentation s’opère. Ces changements sont également vrais chez Picasso. Le minotaure est une naissance monstrueuse qui réunit les contraires : l’animal et l’homme, le masculin et le féminin. Il sert à traduire le phantasme de la bisexualité originelle, une idée ancienne exprimée dans le banquet de Platon. *bacchanale : c’est une débauche bruyante.

Leroy-Beaulieu ; à la Sorbonne ceux d'Henri Bergson, son cousin par alliance, au mariage duquel il sera garçon d'honneur et dont l’influence sur son œuvre a été parfois jugée importante, ce dont Proust s'est toujours défendu. L'influence de sa bisexualité sur son œuvre semble pour sa part importante puisque Marcel Proust fut l'un des premiers romanciers européens à traiter ouvertement de l'homosexualité (masculine et féminine) dans ses écrits. En 1894, il publie Les Plaisirs et les Jours, un recueil